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Actualités - CHRONOLOGIE

Elargissement de l'enquête sur l'affaire du conseiller de Netanyahu Atmosphère de crise en Israël

Le dossier sur le scandale concernant la nomination d’un procureur général en Israël n’est pas clos, il s’en faut, et le premier ministre Benjamin Netanyahu n’a pas encore été blanchi dans cette affaire qui pourrait déboucher, selon la presse israélienne de jeudi, sur la chute du gouvernement.
Le ministre de la sécurité intérieure Avigdor Kahalani a affirmé hier qu’il y avait «largement» de quoi poursuivre l’enquête, ajoutant: «Il y a des gens qui ont planifié tout cela et qui sont impliqués. Qui sont-ils, combien sont-ils et dans quelle mesure cela pourrait impliquer le chef du gouvernement et le ministre de la Justice? Tout cela doit être vérifié».
M. Netanyahu, rappelle-t-on, avait lui-même été interrogé mardi par la police durant quatre longues heures et certains de ses proches collaborateurs sont mis en cause. Selon les révélations de la télévision publique, ces collaborateurs de M. Netanyahu sont soupçonnés d’avoir favorisé en janvier la nomination de l’avocat Roni Bar-On, un militant du parti de droite Likoud, au poste de procureur général, en échange d’une promesse de sa part d’enterrer les accusations de corruption qui pèsent sur un membre important de la coalition.
En retour, ce responsable, M. Arié Déri, chef du parti religieux Shass (10 députés sur 120 au Parlement), aurait accepté de voter en faveur de l’accord conclu le 15 janvier par M. Netanyahu avec les Palestiniens sur un retrait partiel israélien de Hébron en Cisjordanie.
Selon la télévision publique, M. Déri aurait exercé des pressions sur le quotidien «Maariv» afin de favoriser la nomination de Bar-On.
La correspondante de cette chaîne, Ayala Hasson, avait accusé il y a un mois des collaborateurs du premier ministre d’avoir favorisé la nomination de ce militant du Likoud, à ce poste, en échange d’une promesse de sa part d’enterrer des accusations de corruption qui pèsent sur M. Déri.
Le ministre de la sécurité intérieure Avigdor Kahalani a affirmé hier qu’il y avait «largement» de quoi poursuivre l’enquête, ajoutant: «Il y a des gens qui ont planifié tout cela et qui sont impliqués. Qui sont-ils, combien sont-ils et dans quelle mesure cela pourrait impliquer le chef du gouvernement et le ministre de la Justice? Tout cela doit être vérifié».
M. Netanyahu, rappelle-t-on, avait lui-même été interrogé mardi par la police durant quatre longues heures et certains de ses proches collaborateurs sont mis en cause. Selon les révélations de la télévision publique, ces collaborateurs de M. Netanyahu sont soupçonnés d’avoir favorisé en janvier la nomination de l’avocat Roni Bar-On, un militant du parti de droite Likoud, au poste de procureur général, en échange d’une promesse de sa part d’enterrer les accusations de corruption qui pèsent sur un membre important de la coalition.
En retour, ce responsable, M. Arié Déri, chef du parti religieux Shass (10 députés sur 120 au Parlement), aurait accepté de voter en faveur de l’accord conclu le 15 janvier par M. Netanyahu avec les Palestiniens sur un retrait partiel israélien de Hébron en Cisjordanie.
Selon la télévision publique, M. Déri aurait exercé des pressions sur le quotidien «Maariv» afin de favoriser la nomination de Bar-On.
La correspondante de cette chaîne, Ayala Hasson, avait accusé il y a un mois des collaborateurs du premier ministre d’avoir favorisé la nomination de ce militant du Likoud, à ce poste, en échange d’une promesse de sa part d’enterrer des accusations de corruption qui pèsent sur M. Déri.
Le dossier sur le scandale concernant la nomination d’un procureur général en Israël n’est pas clos, il s’en faut, et le premier ministre Benjamin Netanyahu n’a pas encore été blanchi dans cette affaire qui pourrait déboucher, selon la presse israélienne de jeudi, sur la chute du gouvernement.Le ministre de la sécurité intérieure Avigdor Kahalani a affirmé hier...