Le président du Conseil supérieur chiite (CSC), l’imam Mohammed Mehdi Chamseddine, a mis l’accent sur la nécessité de «respecter les lois et d’éviter toute mesure susceptible de provoquer une grave crise sociale».
Le dignitaire religieux chiite a tenu ces propos hier devant une délégation des habitants de la région de Hay el-Maramel qui avaient refusé d’évacuer leurs domiciles ou les appartements qu’il occupent dans le secteur de Maramel à l’entrée sud de Beyrouth à la demande de la société Elyssar.
Les habitants avaient menacé lundi de s’opposer aux forces de l’ordre si la décision d’évacuation devait être appliquée de force. Pour éviter le bras de fer, le Conseil des ministres avait chargé le mohafez du Mont-Liban d’examiner de nouveau le dossier des expropriations et des évacuations.
L’imam Chamseddine a mis l’accent devant la délégation sur la nécessité de soutenir le processsus de développement «qui aura des répercussions positives sur tout le monde».
«Nous devons éviter toutes les graves crises sociales et nous devons tous respecter les lois, a ajouté le président du CSC. Nous devons faire preuve de compréhension, de justice et de coopération à l’égard des revendications des habitants».
Sur un autre plan, le député Ali Hassan Khalil, ancien représentant du mouvement «Amal» au Conseil d’administration d’Elyssar, a, une nouvelle fois, rejeté le montant des indemnités que la société foncière se proposait de verser aux habitants. «L’indemnité d’évacuation d’un appartement de 170m2 a été fixée à 15.000 dollars et cette somme ne suffit pas à acheter une maison même dans le quartier de Hay el-Sellom», a-t-il déclaré.
Le dignitaire religieux chiite a tenu ces propos hier devant une délégation des habitants de la région de Hay el-Maramel qui avaient refusé d’évacuer leurs domiciles ou les appartements qu’il occupent dans le secteur de Maramel à l’entrée sud de Beyrouth à la demande de la société Elyssar.
Les habitants avaient menacé lundi de s’opposer aux forces de l’ordre si la décision d’évacuation devait être appliquée de force. Pour éviter le bras de fer, le Conseil des ministres avait chargé le mohafez du Mont-Liban d’examiner de nouveau le dossier des expropriations et des évacuations.
L’imam Chamseddine a mis l’accent devant la délégation sur la nécessité de soutenir le processsus de développement «qui aura des répercussions positives sur tout le monde».
«Nous devons éviter toutes les graves crises sociales et nous devons tous respecter les lois, a ajouté le président du CSC. Nous devons faire preuve de compréhension, de justice et de coopération à l’égard des revendications des habitants».
Sur un autre plan, le député Ali Hassan Khalil, ancien représentant du mouvement «Amal» au Conseil d’administration d’Elyssar, a, une nouvelle fois, rejeté le montant des indemnités que la société foncière se proposait de verser aux habitants. «L’indemnité d’évacuation d’un appartement de 170m2 a été fixée à 15.000 dollars et cette somme ne suffit pas à acheter une maison même dans le quartier de Hay el-Sellom», a-t-il déclaré.
Le président du Conseil supérieur chiite (CSC), l’imam Mohammed Mehdi Chamseddine, a mis l’accent sur la nécessité de «respecter les lois et d’éviter toute mesure susceptible de provoquer une grave crise sociale».Le dignitaire religieux chiite a tenu ces propos hier devant une délégation des habitants de la région de Hay el-Maramel qui avaient refusé d’évacuer leurs...
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