On sait que l’audience fait loi à la télé. Que l’épouvante y fait recette. Surtout quand elle passe en «prime time». Les sensations fortes accrochent plus sûrement que le plus mariachi des feuilletons-fleuves mexicains. Preuve en est le succès phénoménal de la série canadienne «The X-Files» («Aux frontières du réel» en français) diffusée chaque mardi soir à 20h30 sur une chaîne locale.
Cette série réunit tous les ingrédients du succès: suspens et frissons servis par un bon duo d’acteurs. Les deux principaux interprètes David Duchovny et Gillian Anderson lui doivent d’ailleurs une notoriété planétaire.
Outre la qualité de ces épisodes traitant de sujets aussi captivants que le surnaturel — dans toutes ses ramifications — les «X-Files» bénéficient d’un avantage appréciable du fait que le mardi à la même heure, les chaînes concurrentes présentent généralement des émissions insignifiantes. Mais ceci n’est qu’un détail.
Les «X-Files», rappelons-le, mettent en scène des enquêtes ultra-secrètes menées par deux agents du FBI qui se trouvent confrontés, au gré des épisodes, à de joyeusetés comme la nécrophilie, les manifestations diaboliques, les assassinats, les crimes, les monstruosités en tous genres... Des sujets fascinants mais qui peuvent aussi se révéler pernicieux. Et trop souvent traumatisants pour certaines âmes sensibles notamment les jeunes qui, souvent, à 20h30 sont encore scotchés devant le petit écran. Alors qu’une petite heure plus tard, la plupart d’entre eux sont déjà couchés...
Nonobstant toute considération morale et au-delà de la qualité certaine du programme, une remarque simple s’impose: il est mal placé sur la grille horaire.
Les «frontières du réel», ce n’est pas à la télé de les dépasser...
Zéna ZALZAL
Cette série réunit tous les ingrédients du succès: suspens et frissons servis par un bon duo d’acteurs. Les deux principaux interprètes David Duchovny et Gillian Anderson lui doivent d’ailleurs une notoriété planétaire.
Outre la qualité de ces épisodes traitant de sujets aussi captivants que le surnaturel — dans toutes ses ramifications — les «X-Files» bénéficient d’un avantage appréciable du fait que le mardi à la même heure, les chaînes concurrentes présentent généralement des émissions insignifiantes. Mais ceci n’est qu’un détail.
Les «X-Files», rappelons-le, mettent en scène des enquêtes ultra-secrètes menées par deux agents du FBI qui se trouvent confrontés, au gré des épisodes, à de joyeusetés comme la nécrophilie, les manifestations diaboliques, les assassinats, les crimes, les monstruosités en tous genres... Des sujets fascinants mais qui peuvent aussi se révéler pernicieux. Et trop souvent traumatisants pour certaines âmes sensibles notamment les jeunes qui, souvent, à 20h30 sont encore scotchés devant le petit écran. Alors qu’une petite heure plus tard, la plupart d’entre eux sont déjà couchés...
Nonobstant toute considération morale et au-delà de la qualité certaine du programme, une remarque simple s’impose: il est mal placé sur la grille horaire.
Les «frontières du réel», ce n’est pas à la télé de les dépasser...
Zéna ZALZAL
On sait que l’audience fait loi à la télé. Que l’épouvante y fait recette. Surtout quand elle passe en «prime time». Les sensations fortes accrochent plus sûrement que le plus mariachi des feuilletons-fleuves mexicains. Preuve en est le succès phénoménal de la série canadienne «The X-Files» («Aux frontières du réel» en français) diffusée chaque mardi soir à 20h30 sur une...
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