Au lendemain de l’incendie qui s’était déclaré mercredi à 22 heures dans le marché aux légumes de Bir Hassan et qui avait fait deux blessés syriens et causé d’importants dégâts dans les stocks des commerçants, le syndicat des vendeurs de légumes a démenti hier l’existence d’un conflit entre ces commerçants et le président du Conseil. Certains journaux avaient en effet lié l’incendie à un conflit entre les occupants de ce marché aux légumes et M. Hariri, qui, aux dires des journaux, souhaiterait dégager les lieux.
Le communiqué du syndicat des marchands de légumes précise que l’incendie serait dû à une négligence de la part des vendeurs, qui, pour la plupart, vivent sur place et font des feux pour se réchauffer, la nuit. D’ailleurs, lorsque les pompiers de la Défense civile sont arrivés sur les lieux, ils se sont empressés de réveiller les vendeurs qui dormaient afin de les sauver d’une éventuelle propagation du feu. Selon le communiqué, l’incendie n’a pas détruit la totalité du marché, comme l’avaient affirmé les mêmes journaux, causant simplement des dégâts dans le tiers de sa superficie.
Le syndicat rappelle que ses relations avec le président du Conseil sont empreintes de respect et que ce dernier s’est toujours montré soucieux des problèmes des vendeurs de légumes et par conséquent, il bénéficie de toute la confiance des membres du syndicat.
Toutefois, aucune enquête n’a été ordonnée pour déterminer les causes du sinistre et pour voir s’il s’agit bien d’un accident ou s’il y aurait eu une intention criminelle.
A signaler, par ailleurs, que le mohafez du Mont-Liban, M. Mohamed Souheil Yamout, a demandé au commandant de la région de Beyrouth au sein des FSI, le brigadier Georges Hajjar, d’empêcher les marchands des quatre saisons et les mendiants de circuler sur la route menant du rond-point Chatila jusqu’à l’aéroport international de Beyrouth, en raison de la gêne qu’ils causent pour les automobilistes.
Le communiqué du syndicat des marchands de légumes précise que l’incendie serait dû à une négligence de la part des vendeurs, qui, pour la plupart, vivent sur place et font des feux pour se réchauffer, la nuit. D’ailleurs, lorsque les pompiers de la Défense civile sont arrivés sur les lieux, ils se sont empressés de réveiller les vendeurs qui dormaient afin de les sauver d’une éventuelle propagation du feu. Selon le communiqué, l’incendie n’a pas détruit la totalité du marché, comme l’avaient affirmé les mêmes journaux, causant simplement des dégâts dans le tiers de sa superficie.
Le syndicat rappelle que ses relations avec le président du Conseil sont empreintes de respect et que ce dernier s’est toujours montré soucieux des problèmes des vendeurs de légumes et par conséquent, il bénéficie de toute la confiance des membres du syndicat.
Toutefois, aucune enquête n’a été ordonnée pour déterminer les causes du sinistre et pour voir s’il s’agit bien d’un accident ou s’il y aurait eu une intention criminelle.
A signaler, par ailleurs, que le mohafez du Mont-Liban, M. Mohamed Souheil Yamout, a demandé au commandant de la région de Beyrouth au sein des FSI, le brigadier Georges Hajjar, d’empêcher les marchands des quatre saisons et les mendiants de circuler sur la route menant du rond-point Chatila jusqu’à l’aéroport international de Beyrouth, en raison de la gêne qu’ils causent pour les automobilistes.
Au lendemain de l’incendie qui s’était déclaré mercredi à 22 heures dans le marché aux légumes de Bir Hassan et qui avait fait deux blessés syriens et causé d’importants dégâts dans les stocks des commerçants, le syndicat des vendeurs de légumes a démenti hier l’existence d’un conflit entre ces commerçants et le président du Conseil. Certains journaux avaient...
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