Dans un communiqué publié par son secrétaire général, M. Ibrahim Estephan, à l’issue de sa réunion hebdomadaire, le comité exécutif du B.N. a estimé que «l’équilibre est possible à travers une révision des priorités au niveau des projets de reconstruction, un rééchelonnement des dettes à des intérêts inférieurs et sur des termes plus longs et un accroissement de la production par la réactivation du secteur privé et du secteur bancaire».
Tout en exprimant son «étonnement» devant «le vote quasi-unanime des députés» au cours de la dernière séance parlementaire plénière, le comité exécutif du B.N. a dénoncé «les liens entre la politique financière de l’Etat et les intérêts personnels des leaders. Il a dénoncé la «dépendance» du Liban ainsi que la politique du Parlement «qui ne peut exercer qu’un contrôle verbal sur un gouvernement auquel il est interdit de réclamer des comptes ou de dénier la confiance».
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