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Actualités - CHRONOLOGIE

Faux militaire et filou

Le juge d’instruction militaire, M. Riad Talih, a lancé hier un mandat d’arrêt par défaut à l’encontre de Hassan Mohamed Ali Mawla accusé d’avoir usurpé l’identité d’un adjudant de l’armée et d’avoir ainsi réussi, sous couvert de l’uniforme militaire, à escroquer des dizaines d’individus.
La «méthode» de Mawla était simple: il promettait à ses victimes de leur assurer rapidement un emploi au sein de la Sûreté générale ou des Forces de sécurité intérieure et se faisait payer une «avance» pour ses services de deux à trois mille dollars par personne. Il aurait également réussi à vendre plusieurs voitures qu’il ne possédait même pas à des prix variant entre 12.000 et 35.000$.
Jusqu’au jour où l’un de ses «clients» qu’il avait emmené en week-end à Nicosie a découvert le pot aux roses et est rapidement revenu au Liban où il a porté plainte.
Mais il était déjà trop tard puisque les premières recherches ont permis d’établir que Mawla n’avait pas regagné le Liban mais qu’il avait quitté Chypre pour la Russie.
Le juge d’instruction militaire, M. Riad Talih, a lancé hier un mandat d’arrêt par défaut à l’encontre de Hassan Mohamed Ali Mawla accusé d’avoir usurpé l’identité d’un adjudant de l’armée et d’avoir ainsi réussi, sous couvert de l’uniforme militaire, à escroquer des dizaines d’individus.La «méthode» de Mawla était simple: il promettait à ses victimes...