M. Addoum a nié avoir déclaré que l’arrestation s’est produite au Liban et que M. al-Karmeh serait actuellement détenu au Liban et soumis à des interrogatoires secrets.
Des sources proches du Marriott à Amman, citées par l’AFP, ont rapporté à ce sujet que des différends de «voisinage» entre l’hôtel Marriott et des soldats syriens seraient à l’origine de la disparition le 3 janvier à Beyrouth du directeur financier de cet établissement.
Un différend aurait surgi il y a trois semaines entre la direction du Marriott et des soldats syriens, en raison de l’aspect mal tenu de leur poste, qui porte atteinte à la bonne image de cet hôtel de luxe, ajoutent les mêmes sources.
Un responsable de l’établissement se serait notamment plaint auprès des soldats syriens du linge qui pend aux fenêtres face aux chambres des clients et des détritus trainant à l’entrée.
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