Comment Ahmad el-Chareh s’est façonné une nouvelle image en six mois de pouvoir
L'homme fort de Damas a largement investi les médias occidentaux pour apparaître comme un dirigeant fréquentable, tout en peaufinant sa stature d’homme providentiel en interne.
Le ministre syrien des Affaires étrangères, Assaad el-Chibani (à gauche), marche aux côtés du président intérimaire syrien, Ahmad el-Chareh, sur le tarmac de l'aéroport de Djeddah, en Arabie saoudite, avant d'embarquer pour la Turquie, le 4 février 2025. SANA/AFP
Simple chemise blanche aux manches retroussées, lunettes aviateur et barbe taillée encore plus court qu’à sa dernière apparition, Ahmad el-Chareh profite d’un bain de foule dans les jardins du parc Tishreen, au cœur de Damas, tenant par la main sa femme, Latifa el-Droubi, vêtue d’un manteau long ceintré et d’un foulard clair. Une importante escorte en costumes et mitraillettes ceinture le couple présidentiel, laissant passer quelques poignées de main. Des enfants se faufilent jusqu’à obtenir une embrassade du nouveau maître de la Syrie, qui se prête avec aisance à l’exercice. La présence d’une femme dans son équipe de sécurité n’échappe pas au regard des observateurs. Capturée ce dimanche 8 juin, la scène en dit long sur la mue fulgurante peaufinée par l’ancien chef de guerre passé par les rangs d’el-Qaëda, avant de s’en détacher en 2016...
Simple chemise blanche aux manches retroussées, lunettes aviateur et barbe taillée encore plus court qu’à sa dernière apparition, Ahmad el-Chareh profite d’un bain de foule dans les jardins du parc Tishreen, au cœur de Damas, tenant par la main sa femme, Latifa el-Droubi, vêtue d’un manteau long ceintré et d’un foulard clair. Une importante escorte en costumes et mitraillettes ceinture le couple présidentiel, laissant passer quelques poignées de main. Des enfants se faufilent jusqu’à obtenir une embrassade du nouveau maître de la Syrie, qui se prête avec aisance à l’exercice. La présence d’une femme dans son équipe de sécurité n’échappe pas au regard des observateurs. Capturée ce dimanche 8 juin, la scène en dit long sur la mue fulgurante peaufinée par l’ancien chef de guerre passé par les rangs...
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AL SHARAA s est fait passer pour islamiste car c était la seule maniére d obtenir des fonds des pays du golfe afin de chasser le boucher ASSAD.
Maintenant,il peut montrer son vrai visage au grand bénéfice de la SYRIE qui mérite enfin de vivre en paix et prospérité.
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AL SHARAA s est fait passer pour islamiste car c était la seule maniére d obtenir des fonds des pays du golfe afin de chasser le boucher ASSAD.
Maintenant,il peut montrer son vrai visage au grand bénéfice de la SYRIE qui mérite enfin de vivre en paix et prospérité.
HABIBI FRANCAIS
14 h 57, le 13 juin 2025
Ce qui est vrai pour chareh, l'est tout autant pour les barbus de hezballah. On verra dans 6 mois lequel : Le régime syrien ou le hezballah sortira de la préhistoire de la politique et aura une reconnaissance du monde civilisé
Moi
14 h 57, le 13 juin 2025
J'ai un mot à dire : le tribunal s'est trompé. Je n'ai jamais été un assassin. LANDRU. Celui-là a été GUILLOTINE. Le TERRORISTE, justifié ( en plus ) devient PRESIDENT ; oui , mais restera un assassin…..
aliosha
13 h 32, le 13 juin 2025
Abou Mohamad raccourcis sa barbe de 3cm tous les 3 mois.
Il finira imberbe, je le predis.
Pour la moustache, je ne sais pas...
Michel Trad
10 h 01, le 13 juin 2025
Je le répète: "Le renard change de poil, mais non de caractère".
AL SHARAA s est fait passer pour islamiste car c était la seule maniére d obtenir des fonds des pays du golfe afin de chasser le boucher ASSAD. Maintenant,il peut montrer son vrai visage au grand bénéfice de la SYRIE qui mérite enfin de vivre en paix et prospérité.
14 h 57, le 13 juin 2025