
Le siège de la direction de la TVA, à Beyrouth. Photo d’illustration Philippe Hage Boutros/L’Orient-Le Jour
Depuis le début de la crise, certains investisseurs sont accusés d’avoir misé sur ces instruments de couverture sur la dette libanaise avant le défaut de paiement de mars 2020.
OLJ / Par Stephanie Bechara, le 04 mars 2025 à 00h00
Le siège de la direction de la TVA, à Beyrouth. Photo d’illustration Philippe Hage Boutros/L’Orient-Le Jour
Très intéressant?
Un investisseur en EuroBonds libanais peut acheter des CDS pour se protéger partiellement (“hedge”). Cependant, il est difficile d’imaginer un investisseur acheter des CDS “naked” (c.a.d. sans détenir des EB ou autre obligation impliquant un risque-pays élevé). Le faire serait disproportionnellement risqué, et je doute que l’intermédiaire financier impliqué dans la transaction l’autorise.
il y a tellement de conflits d'interets au Liban que la meilleure et plus simple solution c'est de les pendre tous
Selon un article publié par Badil, Bank Audi avait détenu 2,3 milliards de dollars come Eurobonds au début de l'année 2020. Ce montant a été réduite à 500 millions de dollars parce que la banque a vendu la plupart de leurs obligations à des fonds de vouture (comme Ashmore et Fidelity) ce qui a augmenté la portion de la détention d'Eurobonds de ces fonds à 17 milliards dollars.
Très intéressant?
22 h 09, le 15 mars 2025