Vue sur la colline d'Achrafieh, à Beyrouth. Philippe Hage Boutros/L'OLJ
L’élection de Joseph Aoun à la présidence libanaise jeudi dernier, mettant fin à plus de deux ans de vacance, a été plutôt bien perçue par les investisseurs locaux et étrangers qui ont investi dans la dette libanaise. Ceux qui ont commenté cette...
L’élection de Joseph Aoun à la présidence libanaise jeudi dernier, mettant fin à plus de deux ans de vacance, a été plutôt bien perçue par les investisseurs locaux et étrangers qui ont investi dans la dette libanaise. Ceux qui ont commenté cette...
Cet article est réservé aux abonnés. Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.