L’une des rues du centre-ville de Beyrouth, lundi 10 décembre 2024. Photo P.H.B.
Pendant que le régime de Bachar el-Assad tombait avec pertes et fracas, les Libanais de leur côté prenaient d’assaut une partie des centres commerciaux et des magasins du pays pour le second week-end consécutif depuis le cessez-le-feu, qui a mis en...
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Il n'a pas de nouveau départ si on ne redevient pas un pays de confiance pour les investisseurs et les touristes. Et il n'y a pas de confiance tant que le hezballah impose son diktat par les armes et que le gouvernement collabore avec la milice.
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Il n'a pas de nouveau départ si on ne redevient pas un pays de confiance pour les investisseurs et les touristes. Et il n'y a pas de confiance tant que le hezballah impose son diktat par les armes et que le gouvernement collabore avec la milice.
Il n'a pas de nouveau départ si on ne redevient pas un pays de confiance pour les investisseurs et les touristes. Et il n'y a pas de confiance tant que le hezballah impose son diktat par les armes et que le gouvernement collabore avec la milice.
14 h 59, le 14 décembre 2024