Liban-Israël : la diplomatie peine à se frayer un chemin
Devant Amos Hochstein, Benjamin Netanyahu hausse le ton : un « changement radical » à la frontière libanaise est nécessaire.
OLJ / Par Mounir RABIH, le 17 septembre 2024 à 00h00
Une épaisse fumée s’élevant dans le ciel de Rachaya al-Fokhar, au Liban-Sud, à la suite d'une frappe israélienne, le 15 septembre 2024. Photo de Rabih DAHER / AFP
Ce serait une « initiative individuelle » des commandants d'une brigade. C'est ainsi que Tel-Aviv a commenté le lancement de tracts appelant les habitants de la région de Wazzani, au Liban-Sud, à évacuer leurs villages, en préparation à une...
Ce serait une « initiative individuelle » des commandants d'une brigade. C'est ainsi que Tel-Aviv a commenté le lancement de tracts appelant les habitants de la région de Wazzani, au Liban-Sud, à évacuer leurs villages, en préparation à une...
Bonne analyse, mais quelque chose manque : sur quoi on se base ici (?) étant donné que l'article offre nombre d'information sensible. Il est légitime de demander quelles sont les sources, ( publications ou autres) qui permettent ces affirmations factuelles. De telles écritures doivent impérativement être soutenues par des sources solides et ne pas assumer librement les conclusions.
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Bonne analyse, mais quelque chose manque : sur quoi on se base ici (?) étant donné que l'article offre nombre d'information sensible. Il est légitime de demander quelles sont les sources, ( publications ou autres) qui permettent ces affirmations factuelles. De telles écritures doivent impérativement être soutenues par des sources solides et ne pas assumer librement les conclusions.
Raed Habib
13 h 43, le 17 septembre 2024
HB ne connaît pas ce mot, diplomatie. Il ne connaît que les rapports de force. La preuve, il ne cesse de répéter qu'Israëln’est pas pour un conflit élargi, d’où son entêtement à vouloir prolonger cette guerre dont les seules victimes sont les libanais et leur territoire. Le jour où il saura qu’il serait en guerre réelles il renoncerait à cette bataille qu’il sait qu’elle est perdue d’avance. ÇA N’EST PAS NOTRE GUERRE. Il faut qu’il comprenne que les libanais ne veulent pas de lui comme leur sauveur. Plutôt mourir
Bonne analyse, mais quelque chose manque : sur quoi on se base ici (?) étant donné que l'article offre nombre d'information sensible. Il est légitime de demander quelles sont les sources, ( publications ou autres) qui permettent ces affirmations factuelles. De telles écritures doivent impérativement être soutenues par des sources solides et ne pas assumer librement les conclusions.
13 h 43, le 17 septembre 2024