Dix ans après la fin d’un conflit vain et meurtrier contre Jabal Mohsen, faute de justice sociale, la paix n’a pas permis d’éradiquer le crime dans ce quartier tripolitain paupérisé.
La rue de Syrie, séparant les quartiers Bab el-Tebbané et de Jabal Mohsen, à Tripoli. Photo João Sousa
Dans l’obscurité de la cage d’escalier, sous une coulée de câbles électriques, l’affiche blanche collée par la famille du « martyr » Walid el-Charhoula contraste avec les murs jaunâtres rongés par l’humidité. Au troisième étage, dans un salon...
Dans l’obscurité de la cage d’escalier, sous une coulée de câbles électriques, l’affiche blanche collée par la famille du « martyr » Walid el-Charhoula contraste avec les murs jaunâtres rongés par l’humidité. Au troisième étage, dans un salon...
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