
Une femme passe devant une banderole représentant des missiles de lancement portant l'emblème de la République islamique d'Iran, dans le centre de Téhéran, le 15 avril 2024. Atta Kenare/AFP
Le régime est accusé de profiter de l'escalade régionale pour se livrer à une « guerre de grande échelle à l'encontre de toutes les femmes ».
OLJ / Par Clara HAGE, le 25 avril 2024 à 00h00
Une femme passe devant une banderole représentant des missiles de lancement portant l'emblème de la République islamique d'Iran, dans le centre de Téhéran, le 15 avril 2024. Atta Kenare/AFP
S'il est une leçon à tirer de cet événement c'est que les Iraniens vivent bien, le gardien de but est condamné à une amende de trois milliards de rials... Encore plus riches qu'au Liban !!! Ce durcissement puéril des lois dénote un affaiblissement supplémentaire des dirigeants iraniens, ils procèdent tout simplement à l' éradication de l'élasticité culturelle éclectique qu'avaient les Iraniens.
Personne ne devrait s'intéresser à cela maintenant . Priorité à l'éviction de Natanyahou et au cessez-le -feu à Gaza . Une fois la tranquillité revenue, nous errons ! Mais priorité à l'encouragement de toutes les puissances qui oeuvrent pour la démission de Satanyahou , d'abord et avant tout , s'il vous plaît , ne nous déconcentrons pas , ça jouerait contre nous !
"Quand ta ferveur s'éteint, tu fais durer l'empire par les gendarmes. Mais si les gendarmes seuls peuvent le maintenir, c'est que l'empire est déjà mort" (Saint-Exupéry. Citadelle)
S'il est une leçon à tirer de cet événement c'est que les Iraniens vivent bien, le gardien de but est condamné à une amende de trois milliards de rials... Encore plus riches qu'au Liban !!! Ce durcissement puéril des lois dénote un affaiblissement supplémentaire des dirigeants iraniens, ils procèdent tout simplement à l' éradication de l'élasticité culturelle éclectique qu'avaient les Iraniens.
16 h 56, le 25 avril 2024