
Le président du Parlement, Nabih Berry, et le chef du CPL, Gebran Bassil, lors du dialogue national à Beyrouth, en 2006. Photo Dalati et Nohra.
L'échange de bons procédés semble avoir calmé les tensions entre ces deux rivaux qui ont un allié en commun : le Hezbollah.
OLJ / Par Salah HIJAZI, le 18 avril 2024 à 00h00
Le président du Parlement, Nabih Berry, et le chef du CPL, Gebran Bassil, lors du dialogue national à Beyrouth, en 2006. Photo Dalati et Nohra.
C’est une belle chute libre pour le CPL qui, aux dernières élections législatives, a réussi à former un bloc parlementaire de 18 députés dans petit comme le nôtre
La politique est une affaire de voyous ...
ALLEZ, SOYEZ COURAGEUX, PUBLIEZ MA NOTE. ON NE ME CENSURE PAS MES FRANCHES EXPRESSIONS QUI SONT DANS LES REGLES SI LEGEREMENT.
Je n'ai lu que le titre et je trouve que le terme "plus bas que le ventre du caméléon" souvent utilisé par Michel Aoun s'applique parfaitement à son gendre et à son nouveau partenaire d'affaires. Ces deux là n'ont vraiment aucun amour propre ni grandeur d'âme.
Je n'ai meme pas lu cet article tant que je les trouve tous deux dégoûtants.
C’est une belle chute libre pour le CPL qui, aux dernières élections législatives, a réussi à former un bloc parlementaire de 18 députés dans petit comme le nôtre
16 h 50, le 18 avril 2024