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Société - Témoignages

Pour les déplacés du Liban-Sud, le cœur n'est pas au ramadan

Après avoir fui leur domicile depuis près de six mois, ces Libanais vivent difficilement ce mois béni pour les musulmans. 

Pour les déplacés du Liban-Sud, le cœur n'est pas au ramadan

Farah, une déplacée de Beit Lif, dans le lycée technique de Tyr, devenu abri de fortune, le 2 février 2024. Photo João Sousa

Fatima* enchaîne les cigarettes dans cette petite pièce qu’elle loue avec sa sœur Aïcha*. L’appel à la prière marquant la fin du jeûne n’a pas encore retenti à Tyr. « Je suis une déplacée… Je n’ai pas la force de jeûner », déplore cette...
Fatima* enchaîne les cigarettes dans cette petite pièce qu’elle loue avec sa sœur Aïcha*. L’appel à la prière marquant la fin du jeûne n’a pas encore retenti à Tyr. « Je suis une déplacée… Je n’ai pas la force de jeûner », déplore cette...

commentaires (4)

Ces pauvres gueux remercient ceux là même qui sont responsables de leur exil.. Y à pas à dire.. Quel peuple et quel pays de M....

Emile G

18 h 31, le 21 mars 2024

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Commentaires (4)

  • Ces pauvres gueux remercient ceux là même qui sont responsables de leur exil.. Y à pas à dire.. Quel peuple et quel pays de M....

    Emile G

    18 h 31, le 21 mars 2024

  • Le Hezbollah, le seul à défendre le territoire et à soulager les plus démunis. Face aux caisses de l'état vidées et l'avidité de colons-voisins , heureusement qu'un mouvement de résistance et charitable vient apporter un équilibre fragile au destin des libanais.

    peacepeiche@gmail.com

    11 h 19, le 21 mars 2024

  • Et on dit merci à Hassouna, le roi des mafieux ...

    Zeidan

    10 h 53, le 21 mars 2024

  • Ils vont certainement remercier Hassan Nasrallah qui leur donne l'occasion de jeûner vraiment, cette année.

    Yves Prevost

    06 h 53, le 21 mars 2024

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