La place devant le port de Tyr, le jeudi 14 mars. Photo Matthieu Karam
Assis à la terrasse d’un café de la rue Hamra, un homme lit attentivement en fumant un cigare. Le docteur Jaber suit les derniers développements et épluche les analyses politiques dans chacun des quatre journaux en langue arabe qu’il se procure...
Assis à la terrasse d’un café de la rue Hamra, un homme lit attentivement en fumant un cigare. Le docteur Jaber suit les derniers développements et épluche les analyses politiques dans chacun des quatre journaux en langue arabe qu’il se procure...
commentaires (6)
"les craintes semblent s’être pourtant dissipées depuis parmi la population, qui a repris le cours de sa vie. " une bouteille d'arack par jour, 2 ou 3 clopes blondes de la bekaa et revoir sahriyé de ziad pour la 100 millième fois, quoi craindre après tout ça ??
Wlek Sanferlou
13 h 58, le 17 mars 2024