
L’ancien palais Abdel Kader à Minet el-Hosn. Photo G.B.
Dans un contexte de crise économique et sécuritaire, le marché foncier des palais et demeures traditionnelles cible une niche limitée et plutôt confidentielle.
OLJ / Par Guillaume Boudisseau, le 12 mars 2024 à 00h00
L’ancien palais Abdel Kader à Minet el-Hosn. Photo G.B.
« Un homme d’affaires libanais » Encore un!
Solidere n'est pas une banque ? Elle n'a prete ses sous, ni a l'etat Libanais, ni a la canaille de la BDL ? Alors, pourquoi donc ses actions s'echangent-elles toujours en Lollars bloques par les crapules bancaires a 1/6 de leur valeur ????? Voleurs, canaille, vendus et compagnie. Tfeeeeeehhhhh Kellon ya3ne kellon.
On ne peut que se réjouir pour l'acheteur... et le bien public : enfin, un patrimoine historique (certes déjà remis en état) qui ne finira ni en parking ni en lieu de stockage de générateurs. Un vrai luxe !
Mais qui est ce charmant acquéreur?
« Un homme d’affaires libanais » Encore un!
08 h 57, le 14 mars 2024