Économie - Éclairage
À quel point la conjoncture israélienne inquiète les agences de notation financière ?
OLJ / Par Philippe HAGE BOUTROS, le 17 février 2024 à 14h46
OLJ / Par Philippe HAGE BOUTROS, le 17 février 2024 à 14h46
Tant qu'à faire , Tante Amérique donnera tout ce que bébé (Bibi) exigera , et elle le fera à plat ventre !
Au final… tout est une affaire de gros sous. La guerre , faut la financer. La paix…. aura un prix aussi… même en pleine guerre, les financiers ne perdent pas le nord.
Il est curieux que dans votre article vous ne faites pas référence au fait que la dette israélienne est garantie par le trésor américain et rien que ce fait justifie que les agences de notation ne l’aient pas encore dégradée ou que Moody’s la garde au niveau A2
On ne va quand même pas s'inquiéter pour eux. Il y aura toujours Oncle Sam pour les renflouer.
Tant qu'à faire , Tante Amérique donnera tout ce que bébé (Bibi) exigera , et elle le fera à plat ventre !
16 h 06, le 18 février 2024