
Abdallah, alias le « Abou Obeida de Nahr el-Bared », sur le toit de sa maison dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr el-Bared. Photo Emmanuel Haddad
La cause palestinienne a eu de nombreuses effigies. Le mystérieux porte-parole de la branche armée du Hamas incarne pour beaucoup son renouveau.
OLJ / Par Emmanuel HADDAD, le 03 janvier 2024 à 11h17
Abdallah, alias le « Abou Obeida de Nahr el-Bared », sur le toit de sa maison dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr el-Bared. Photo Emmanuel Haddad
Attention il risque de faire de l’ombre à Hassouna.
Vous désignez déjà le prochain qui va se terrer jusqu'au jour ou l'un de ses proche le trahira et il sera trucidé comme c'est arrivé a chacun de ces criminels en liberté ! De toute manière tant que les ennemis du pays s'entre-tuent, ils ne font que s'affaiblir et le Liban se renforcer.
""Là-bas, le petit Abdallah Abdel Razeq, 8 ans, surnommé le « Abou Obeida de Nahr el-Bared », rythme ses phrases en pointant son index droit vers le ciel…"" Il fera mieux d’aller à l’école pour s’assurer un autre avenir, par l’apprentissage d’une formation. À huit ans, on rêve à autre chose que d’apprenti révolutionnaire, comme c’était à la mode dans les années Arafat. Quand on pointe son index vers le ciel, d’où viennent les obus, c’est que tous les horizons sont bouchés. Ce camp reconstruit après 2007 selon des impératifs sécuritaires, normes, n’offre aucune autre perspective d’avenir ?
- DES FIGURES, UNE RARE, - MAIS NON PAS LA PLUS BIZARRE, - QUI CAUSERENT RUINE ET SANG, - A TOUT LEUR PEUPLE INNOCENT.
Attention il risque de faire de l’ombre à Hassouna.
16 h 38, le 05 janvier 2024