Menu
À la Une Découvrez notre appli flèche vers le bas
Rechercher
Rechercher
Rechercher
Télécharger l'appli flèche vers le bas À la Une

Politique - Analyse

Présidentielle libanaise : circulez, y a rien à voir

En l’absence d’un deal régional, les acteurs locaux n’ont aucun plan B.

OLJ / Par Anthony SAMRANI, le 25 septembre 2023 à 00h00

Présidentielle libanaise : circulez, y a rien à voir

Des militaires libanais devant le siège du Parlement, le 31 mai 2022 sur la place de l’Étoile à Beyrouth. Anwar Amro/AFP

Onze mois après le départ de Michel Aoun, le Liban n’a toujours pas de président, essentiellement pour deux raisons. La première, c’est qu’aucun compromis interne ne se dégage autour d’un candidat qui pourrait recueillir les 65 voix requises à son...
Onze mois après le départ de Michel Aoun, le Liban n’a toujours pas de président, essentiellement pour deux raisons. La première, c’est qu’aucun compromis interne ne se dégage autour d’un candidat qui pourrait recueillir les 65 voix requises à son...
commentaires (10)

Tout le monde a peur du Hezbollah, les vrais patriotes sont les FL et les phalangistes, les druzes sont des caméléons

Eleni Caridopoulou

17 h 17, le 25 septembre 2023

Tous les commentaires

Dernières infos

 Toutes les dernières infos

À lire aussi

L'Orient-Le Jour
recrute des journalistes passionnés Je postule

Les plus lus

Les plus commentés

Les plus partagés

Commentaires (10)

  • Tout le monde a peur du Hezbollah, les vrais patriotes sont les FL et les phalangistes, les druzes sont des caméléons

    Eleni Caridopoulou

    17 h 17, le 25 septembre 2023

  • PRIERE LIRE : LE PLAT MIJOTE SUR LA BRAISE. MERCI.

    LA LIBRE EXPRESSION SE REPOSE

    13 h 49, le 25 septembre 2023

  • - PRESIDENTIELLE LIBANAISE. - LE PLAT MIJOTTE SUR LA BRAISE. - IL BRULE LES DOIGTS DU PERCHE, - CAR BIEN QU,IMBERBE, IL EST NICHE, - SUR LE PERCHOIR PAR LE BARBU, - ET DOIT SEUL ENCAISSER LE DU, - ET LES HAROS SUR LA COMBINE, - QU,IL PROPOSE COMME ROUTINE, - ET PRETENDAIT FAIRE GOBER, - A CHAQUE NON ENTURBANE. - MAIS LES CHRETIENS SE JOUENT DE LUI. - ET EST LACHE PAR TOUT AUTRUI.

    LA LIBRE EXPRESSION SE REPOSE

    12 h 38, le 25 septembre 2023

  • Reste un élément essentiel qui peut changer la donne, LE PEUPLE. Il doit hausser le ton pour se faire entendre Aucun de ces leaders contre le HB n’a pris la peine de s’adresser directement à lui en le poussant à déclarer une grève ouverte et une désobéissance civile jusqu’à ce que ces vendus cèdent sous la pression et soient forcés d’élire un président qui lui permettrait de vivre dignement en lui assurant la sécurité et les éléments nécessaires dans sa vie au quotidien tel que l’eau, l’électricité et les médicaments etc… seul le peuple est capable de sauver notre pays et on se demande pourquoi jusqu’alors il accepte qu’on décide pour lui alors qu’il est le seul à payer les frais de ces accords mafieux qui ne profitent qu’aux traîtres de notre nation. Ce peuple est considéré comme quantité négligeable puisqu’il continue à subir sans jamais protester de peur des conséquences physiques que les fossoyeurs lui a infligé pour l’en dissuader. La grève, elle ne représente pas de danger alors?

    Sissi zayyat

    10 h 21, le 25 septembre 2023

  • "L’opposition", l’opposition et encore l’opposition, les "acteurs externes", les "acteurs locaux", tout ça est très bien analysé. L’impasse actuelle de la présidentielle c’est d’abord le leadership chrétien. Tous les candidats sont évoqués sauf l’un d’eux, et non des moindres, le candidat naturel, toujours en lice : Samir Geagea. Qui pourrait m’expliquer comment l’ancien milicien-chef, à la tête d’une formation politique chrétienne, avec un important groupe parlementaire, ne désigne pas un candidat de son parti, s’il est lui-même convaincu qu’il n’a aucune chance de l’emporter. Pourquoi, s’il n’attend pas son heure pour se faire élire (on peut toujours rêver) proposer un candidat, et dans sa formation, les prétendants sérieux sont nombreux, rien qu’à titre d’un ballon d’essai pour sonder les intentions des autres chefs de groupes parlementaires. Il est dit qu’au Liban, avoir un important groupe parlementaire n’est pas décisif pour se faire élire, alors…

    NABIL

    10 h 09, le 25 septembre 2023

  • Donc, c'est un "deal régional" qui devrait débloquer l'échéance présidentielle...??? Mais alors...à quoi servent ces marionnettes politiques locales de toutes les couleurs, qui visiblement ne savent que parler, déclarer, refuser, gesticuler et manifester ? Par contre, AGIR pour le bien de leur "PATRIE"...ils ignorent complètement ce que cela signifie, étant uniquement occupés par leurs intérêts personnels ! - Irène Saïd

    Irene Said

    09 h 00, le 25 septembre 2023

  • Puisque nous sommes arrivés aussi bas, pourquoi ne pas nommer un gouvernement d'exception avec lahoud et aoun ,pas le vrai, mais l'ersatz ( le petit), avec bassil à l'énergie), ils n'ont rien à faire de leurs journées

    C…

    08 h 08, le 25 septembre 2023

  • « dans un pays où, que cela nous plaise ou non, aucun candidat ne pourra l’emporter sans l’aval de la formation pro-iranienne ». Reste à expliquer le pourquoi de cette thèse alors que le Hezbollah et ses alliés assumés complètement ou partiellement (aounistes) sont minoritaires au parlement. La raison est simple: le Hezbollah a des alliés non assumés dans le camp censé être majoritaire qui sont les haririens les joumblattistes et les thawrettistes excepté les 3 qui ont rejoint les 31 (seulement) de la vraie opposition. Aounistes, haririens, joumblattistes et thawrettistes, constituent un immense « ventre mou » écartelé entre leur arrivisme qui les porte à être complice du Hezbollah et leur propre rue de plus en plus hostile au parti néo-safavide. Ce sont bien eux les vrais « kellon ». Ventre mou qui était encore plus immense dans les parlements d’avant 2022, mis à part les thawrettistes qui n’ont fait que lui limiter ses pertes.

    Citoyen libanais

    07 h 23, le 25 septembre 2023

  • Assez d’imposer un partisan pour être élu président.

    Mohamed Melhem

    05 h 44, le 25 septembre 2023

  • Eh bien il est rare que je partage autant le point de vue d'un éditorial. C'est exactement ce que je pense. Aucune partie ne peut obtenir ce qu'elle veut, et aucune partie n'a non plus intérêt à consentir à un règlement qui ne lui offrirait pas de garanties solides, garanties que les autres parties n'ont aucune intention de fournir.

    Nagi Nahas

    02 h 34, le 25 septembre 2023

Retour en haut