
La journaliste libanaise Dima Sadek devant le Palais de justice de Beyrouth en 2015. Photo d'archives AFP/Patrick Baz
Depuis l’annonce, mardi, de la condamnation de la journaliste libanaise Dima Sadek à un an de prison ferme, résultat d’un procès intenté contre elle par le chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil, les réactions de responsables politiques et d’institutions de la société civile se succèdent.
Mercredi, c’est l’ancien ministre Michel Pharaon qui a apporté son soutien à la journaliste et à la liberté de la presse sur le réseau social Twitter, dénonçant l’utilisation de la justice à des « fins personnelles et partisanes ». Lors d’une conférence de presse avec ses confrères du bloc parlementaire issu de la contestation populaire Melhem Khalaf, Najate Saliba et Yassine Yassine, la députée Paula Yacoubian a, elle, déclaré suspendre sa participation à la commission parlementaire de l’Information et de la Communication tant que celle-ci ne prendrait pas des mesures pour protéger la liberté de la presse.
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