Au pied de Beyrouth, un quartier de « parias » oubliés
Niché à la croisée des banlieues populaires de Bourj Hammoud, Sin el-Fil et Nabaa, un faubourg communément appelé quartier des Damouriens est devenu au fil des années un refuge multicolore échappant aux radars des autorités.
Le quartier des Damouriens, à la frontière de Bourj Hammoud, Sin el-Fil et Nabaa. Photo Joao Sousa
Dans la banlieue est de Beyrouth, sous le pont reliant Achrafieh à la zone industrielle jouxtant Dekouané, un quartier à la frontière de Bourj Hammoud, Sin el-Fil et Nabaa offre un tableau haut en couleur de toute la misère refoulée en périphérie...
Dans la banlieue est de Beyrouth, sous le pont reliant Achrafieh à la zone industrielle jouxtant Dekouané, un quartier à la frontière de Bourj Hammoud, Sin el-Fil et Nabaa offre un tableau haut en couleur de toute la misère refoulée en périphérie...
Abonnez-vous pour 99$/an au lieu de 169$.
Retrouvez tous nos analyses, décryptages, reportages et bien plus encore !
Jolie mise en scène romantique. Mais en réalité c'est des status illégales, infrastructure deplorable, et épuisée probablement piraté. Voilà qui est une bombe à retardement économique et sociale. Ou sont tout les ONG s internationals? Il Faut bossée pour que toutes ces résidents illégaux puissent retourner dans leur pays, ou bien avoir accès à des programmes d'immigrations légals pour d'autres pays. Est en premier, les originaires de Damour et du Chouf, et aussi du Sud Liban qui on trouver refuge dans ces bidonvilles, il est grand temps de les aidée à retrouver leur vrai chez eux.
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
Jolie mise en scène romantique. Mais en réalité c'est des status illégales, infrastructure deplorable, et épuisée probablement piraté. Voilà qui est une bombe à retardement économique et sociale. Ou sont tout les ONG s internationals? Il Faut bossée pour que toutes ces résidents illégaux puissent retourner dans leur pays, ou bien avoir accès à des programmes d'immigrations légals pour d'autres pays. Est en premier, les originaires de Damour et du Chouf, et aussi du Sud Liban qui on trouver refuge dans ces bidonvilles, il est grand temps de les aidée à retrouver leur vrai chez eux.
Sarkis Dina
11 h 05, le 18 juin 2023
C'est aussi cela le Liban !
Pandora
13 h 51, le 17 juin 2023
Quelqu'un a pensé modifier le statut des philippins, et ethiopiens au Liban et le rapprocher de celui des syriens...? Des philippins et des ethiopiens sont (heureux) au Liban depuis des anneés, connaissent notre culture et notre langue. Ca resoudra pas mal de problèmes
Moi
18 h 38, le 16 juin 2023
Bien plus intéressant que ces articles sur des restaurants.
Merci
commentaires (4)
Jolie mise en scène romantique. Mais en réalité c'est des status illégales, infrastructure deplorable, et épuisée probablement piraté. Voilà qui est une bombe à retardement économique et sociale. Ou sont tout les ONG s internationals? Il Faut bossée pour que toutes ces résidents illégaux puissent retourner dans leur pays, ou bien avoir accès à des programmes d'immigrations légals pour d'autres pays. Est en premier, les originaires de Damour et du Chouf, et aussi du Sud Liban qui on trouver refuge dans ces bidonvilles, il est grand temps de les aidée à retrouver leur vrai chez eux.
Sarkis Dina
11 h 05, le 18 juin 2023