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Culture - Musique

Les fantômes dans le couloir d’Interbellum

Le musicien Karl Mattar raconte les thématiques qui hantent le nouvel album « Our house is very beautiful at night » (Notre maison est très belle la nuit).

Les fantômes dans le couloir d’Interbellum

Interbellum pendant le concert de lancement de l’album, avec, de gauche à droite, Julia Sabra, Marwan Tohmé, Karl Mattar et Pascal Semerdjian. Photo Roland Ragi

“The earth spoke / with the first stroke of the spade / deeper, deeper / ‘til it has nothing left to say.” (La terre a parlé / au premier coup de bêche / plus profondément, plus profondément / jusqu’à ce qu’elle n’ait plus rien à dire).C’est ainsi...
“The earth spoke / with the first stroke of the spade / deeper, deeper / ‘til it has nothing left to say.” (La terre a parlé / au premier coup de bêche / plus profondément, plus profondément / jusqu’à ce qu’elle n’ait plus rien à dire).C’est ainsi...

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