
Le Parlement algérien à Alger. Photo d'archives AFP
Après plus de trente ans d’existence, la presse écrite meurt à petit feu dans le pays, victime d’un modèle économique incompatible avec la rentabilité et de pressions politiques du pouvoir.
OLJ / Mussa ACHERCHOUR, à Alger, le 11 avril 2023 à 00h01
Le Parlement algérien à Alger. Photo d'archives AFP
Au moins ce pays reste bien tenu et contrôlé et ne verse pas dans l'anarchie totale comme le nôtre ....On ne saurait trop insister sur l'avantage du trop sécuritaire , sur le trop permissif . Ces pays là , dont la paix civile ne tient qu'à un fil , ne sont pas faits pour adopter un système à l'occidentale , d'ailleurs même ces systèmes , en Europe par exemple , commencent à s'essoufler et à pâtir : Le grand Sélim Hoss répétait à qui voulait l'entendre : Trop de démocratie mène au contraire de la démocratie ! Comme il avait raison !
Encore une mesure à court terme qui contribuera à vider un peu plus le pays de ses forces vives
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Au moins ce pays reste bien tenu et contrôlé et ne verse pas dans l'anarchie totale comme le nôtre ....On ne saurait trop insister sur l'avantage du trop sécuritaire , sur le trop permissif . Ces pays là , dont la paix civile ne tient qu'à un fil , ne sont pas faits pour adopter un système à l'occidentale , d'ailleurs même ces systèmes , en Europe par exemple , commencent à s'essoufler et à pâtir : Le grand Sélim Hoss répétait à qui voulait l'entendre : Trop de démocratie mène au contraire de la démocratie ! Comme il avait raison !
Chucri Abboud
17 h 31, le 11 avril 2023