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Économie - Le chiffre de la semaine

Le Liban obtient la 112e place dans le classement de l’indice de prospérité en 2023, selon le Legatum Institute

Le Liban obtient la 112e place dans le classement de l’indice de prospérité en 2023, selon le Legatum Institute

C’est la place qu’a obtenue le Liban dans le classement de 2023 de l’indice de prospérité du Legatum Institute, un institut de recherche financé par le fonds d’investissement Legatum de Dubaï, dans lequel 167 pays sont retenus. Cet indice, qui mesure le bien-être économique et social d’une nation, prend en considération 299 indicateurs, regroupés en 12 « piliers » : la sécurité, les libertés individuelles, la gouvernance, le capital social, l’environnement d’investissements, les conditions pour fonder une entreprise, les infrastructures et l’accès au marché, la situation économique, les conditions de vie, la santé, l’éducation et enfin l’environnement naturel.

Le Liban a obtenu un score de 51,38 points, contre 51,93 pour le classement de 2021, une note en dessous de la moyenne mondiale (58,1 points) mais supérieure à celle des pays arabes (51,37 points). Le Liban est 11e parmi les 19 pays arabes retenus.

L’année passée, le pays du Cèdre s’était hissé à la 107e place, contre la 112e actuellement, bien loin de la 88e place qu’il avait occupée en 2013. Sans surprise, dans le classement 2023, une des plus basses places obtenues par le Liban est celle relative à l’indicateur de la situation économique (161/167). Le pays traverse en effet une crise économique depuis fin 2019, qui a accentué la pression sur ses infrastructures publiques, comme l’eau et l’électricité. Il se retrouve ainsi dans les 10 pires pays pour ce « pilier ». Ce n’est toutefois pas son indicateur le plus faible, compte tenu qu’il est classé à la 165e position (seulement devant l’Afghanistan et la Syrie) au niveau du capital social, qui évalue la confiance de la société envers d’autres personnes, en prenant par exemple en compte les relations familiales et la tolérance envers les étrangers ou les personnes LGBTQ+.

Au niveau régional, ce sont les pays du Conseil de la coopération du Golfe, les Émirats arabes unis, le Qatar et le Koweït qui occupent le top 3 (respectivement classés 44e, 46e et 60e mondial). Le Soudan, la Syrie et le Yémen ferment le classement régional, respectivement classés 158e, 159e et 166e. Le Yémen occupe d’ailleurs l’avant-dernière place des 167 pays, le Sud-Soudan remportant la palme d’or à ce niveau. La zone du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) s’est classée 7e sur les 8 régions du monde, dépassant seulement l’Afrique sub-saharienne. Les plus grands points faibles de la zone MENA consistent en la sécurité, les libertés individuelles et la gouvernance.

Enfin au niveau mondial, ce sont quatre pays nordiques et scandinaves qui raflent les quatre premières places : le Danemark, la Suède, la Norvège et la Finlande respectivement.

C’est la place qu’a obtenue le Liban dans le classement de 2023 de l’indice de prospérité du Legatum Institute, un institut de recherche financé par le fonds d’investissement Legatum de Dubaï, dans lequel 167 pays sont retenus. Cet indice, qui mesure le bien-être économique et social d’une nation, prend en considération 299 indicateurs, regroupés en 12...

commentaires (1)

Les pays scandinaves sont remplis de gens depressifs, arrogants, socialistes, noirs d'humeur. Y en a marre de les mettre en tete de tous les classements sans prendre leur vraie nature en consideration.

..... No comment

10 h 56, le 03 avril 2023

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Commentaires (1)

  • Les pays scandinaves sont remplis de gens depressifs, arrogants, socialistes, noirs d'humeur. Y en a marre de les mettre en tete de tous les classements sans prendre leur vraie nature en consideration.

    ..... No comment

    10 h 56, le 03 avril 2023

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