Du Drakkar, où 58 soldats français ont perdu la vie, quinze furent dégagés vivants. Deux des survivants se retrouvèrent huit étages plus bas, soufflés par l'explosion. Archives AFP
Quarante ans après l'attentat du Drakkar, la justice française vient-elle de relancer l’enquête? Plusieurs sources libanaises et françaises interrogées par L’Orient-Le Jour sous le couvert de l’anonymat, ont démenti l’information publiée le 8 mars...
Quarante ans après l'attentat du Drakkar, la justice française vient-elle de relancer l’enquête? Plusieurs sources libanaises et françaises interrogées par L’Orient-Le Jour sous le couvert de l’anonymat, ont démenti l’information publiée le 8 mars...
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A l'époque, la France n'avait pas le moindre doute sur les responsables du massacre. La DGSE avait fait déposer une bombe de 100 kg devant un bâtiment relevant de l'ambassade de l'Iran à Beyrouth, et l'aviation française avait bombardé la caserne Cheikh Abdallah du Hezbollah. Bien entendu, la bombe était désamorcée et les miliciens avaient été prévenus d'évacuer la caserne. Nous sommes de bons démocrates et défenseurs des droits de l'homme, tout de même! Nous sommes en guerre, soit! Ce n'est pas une raison pour faire des victimes chez l'ennemi!
Yves Prevost
07 h 23, le 16 mars 2023