
Illustration Yann Charaoui
Elles s’appellent Rojiar, Iyta*, Maria, Lara* Sofia ou encore Souad*. Elles ont grandi en Iran, en France, au Liban ou en Algérie. Les unes honnissent ce voile qui leur a été imposé par l’État ou la pression sociale. Les autres ne peuvent s’imaginer sans le leur.
OLJ / Par Soulayma MARDAM BEY, le 23 novembre 2022 à 23h20
Illustration Yann Charaoui
Merci à Soulayma Mardam Bey pour ses excellentes tribunes.
DANS LEURS PAYS D,ORIGINE ELLES SE SOULEVENT ET SE BATTENT POUR SE DEBARRASSER DU VOILE ET DU TCHADOR. REFUGIEES DANS LES PAYS OCCIDENTAUX ET MANIPULEES PAR LES RELIGIEUX ELLES SE BATTENT POUR PORTER VOILE ET TCHADOR. LEUR FANATISME RELIGIEUX NE SE MANIFESTE QUE DANS LES PAYS QUI LES ACCUEILLENT.
D’où le danger du lavage des cerveaux qui finit par rendre les gens même cultivés sourds et aveugles aux messages éclairants qui ne veulent que les sauver de la dictature des obscurantistes qui se servent d’eux comme moyen de provocation pour exister.
Fascinant, mais trop trop long
commentaires (4)
Merci à Soulayma Mardam Bey pour ses excellentes tribunes.
Eddé Dominique 4037
09 h 59, le 29 novembre 2022