
Le prince héritier saoudien Mohammad ben Salmane arrivant au 10 Downing Street à Londres, le 7 mars 2018. Photo AFP; Le président turc Recep Tayyep Erdogan. Photo d’archives AFP
Lors de son déplacement, le président turc devrait rencontrer le prince héritier, Mohammad ben Salmane, pour la première fois depuis l’affaire Khashoggi, qui avait exacerbé en 2018 les tensions entre les deux puissances régionales.
OLJ / Laure-Maïssa FARJALLAH, le 28 avril 2022 à 00h00
Le prince héritier saoudien Mohammad ben Salmane arrivant au 10 Downing Street à Londres, le 7 mars 2018. Photo AFP; Le président turc Recep Tayyep Erdogan. Photo d’archives AFP
DEPUIS QUE J,AI RENOUVELE MON ABONNEMENT ET BIEN QUE JE NE FAIS PLUS QU,UN OU DEUX COMMENTAIRES PAR JOUR 9 DES 10 COMMENTAIRES SONT CENSURES. C,EST HONTEUX POUR L,OLJ.
Ce revirement turc vers le Sud ne pourrait que bénéficier à la Syrie et à l'Iran car le rapprocgement prononcé entre l'Arabie Seoudite et l'Iran sera contagieux : Les zizanies au Moyen-Orient , pour une fois , sont appelées à s'apaiser , et tout cela marquera un début d'éloignement américain de la région , où la Russie trouvera une belle porte d'entrée .
DEPUIS QUE J,AI RENOUVELE MON ABONNEMENT ET BIEN QUE JE NE FAIS PLUS QU,UN OU DEUX COMMENTAIRES PAR JOUR 9 DES 10 COMMENTAIRES SONT CENSURES. C,EST HONTEUX POUR L,OLJ.
17 h 54, le 28 avril 2022