
Des affiches électorales en prévision du scrutin législatif de 2018 dans un quartier de Beyrouth. Joseph Eid/AFP
« Je n’oublierai pas ce que Beyrouth a fait pour moi. » Si, lors de l’annonce fracassante lundi dernier de la suspension de ses activités politiques, Saad Hariri, au bord des larmes, a tenu à remercier la capitale, c’est parce que cela...Electoral battle in Beirut II, hard to predict...
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C'est pour des héros qu'il faudrait voter. Mieux pour des Saints, bien que le Royaume de Dieu ne soit pas de ce monde ! Si cet espoir dépend un peu des électeurs, il est malheureusement surtout dépendant d'une mécanique infernale et corrompue.
Zahar Nicolas
20 h 04, le 31 janvier 2022