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Moyen-Orient - Syrie

Assad charge le Premier ministre par intérim, Hussein Arnous, de former un nouveau cabinet

Le président syrien Bachar el-Assad a chargé hier le Premier ministre par intérim Hussein Arnous de former un nouveau cabinet, deux mois après l’élection présidentielle. Le 17 juillet, M. Assad a prêté serment pour un quatrième mandat présidentiel, environ deux mois après sa réélection avec 95,1 % des voix, selon les autorités, lors d’un scrutin largement critiqué par l’opposition et l’Occident. C’est la seconde fois que Hussein Arnous est chargé de former un gouvernement dans ce pays en proie à une guerre qui perdure depuis 2011 et à une crise socio-économique aiguë. Ancien ministre des Ressources hydrauliques, M. Arnous avait été nommé Premier ministre en août 2020, après avoir assumé cette fonction à titre temporaire au lendemain du limogeage en juin de l’ancien Premier ministre Imad Khamis, sur fond d’aggravation de la crise économique. Il fait l’objet depuis plusieurs années de sanctions imposées par les États-Unis et l’Union européenne contre le régime Assad. Son gouvernement doit gérer une crise marquée par une dégringolade de la monnaie nationale et une flambée des prix, ayant entraîné une paupérisation à grande échelle de la population syrienne, ainsi que par de graves pénuries, notamment de carburants et d’électricité.


Le président syrien Bachar el-Assad a chargé hier le Premier ministre par intérim Hussein Arnous de former un nouveau cabinet, deux mois après l’élection présidentielle. Le 17 juillet, M. Assad a prêté serment pour un quatrième mandat présidentiel, environ deux mois après sa réélection avec 95,1 % des voix, selon les autorités, lors d’un scrutin largement critiqué par...

commentaires (1)

La politique basée sur des sanctions pénalise le peuple qu'elle entend aider.De là, empêcher la reconstruction d'un pays défie toute logique. M,Z

ZEDANE Mounir

09 h 42, le 04 août 2021

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Commentaires (1)

  • La politique basée sur des sanctions pénalise le peuple qu'elle entend aider.De là, empêcher la reconstruction d'un pays défie toute logique. M,Z

    ZEDANE Mounir

    09 h 42, le 04 août 2021

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