Diffusé hier soir (à 20h45, heure de Beyrouth) simultanément sur les chaînes de télévision libanaises et arabes, ainsi que sur les réseaux YouTube et Facebook,
#ShineOnLebanon, le concert de la saison produit par le Festival de Baalbeck, a tenu ses promesses. Il a, comme l’espérait sa présidente Nayla de Freige, offert aux spectateurs libanais « une heure et demie de bonheur ». En musique, en beauté et en jeunesse. Une bouffée d’oxygène dans la noirceur des jours actuels. Et un souffle d’espérance et de vitalité apporté par les performances, filmées et retransmises depuis le temple de Bacchus, de dix artistes et groupes libanais de la nouvelle scène musicale libanaise qui se sont produits au sein de 10 sites archéologiques romains de la Békaa.
Écouter leurs morceaux classiques, indie folk, rock, pop, électro, électro oriental, rap et jazz s’élever entre les pierres millénaires des différents temples antiques, comme autant d’hymnes renouvelés à la vie… Et admirer la puissance gorgée de mille soleils qui émane de ces paysages immémoriaux, merveilleusement mis en valeur par les images des différents réalisateurs et la scénographie de Jean-Louis Mainguy, le directeur artistique du projet. Rien de tel pour redécouvrir l’âme immortelle du Liban. Et se dire que rien ni personne ne pourra détruire son rayonnement…
#ShineOnLebanon, le concert de la saison produit par le Festival de Baalbeck, a tenu ses promesses. Il a, comme l’espérait sa présidente Nayla de Freige, offert aux spectateurs libanais « une heure et demie de...
commentaires (1)
Le Festival International de Baalbeck nous avait habitue a mieux…!
Cadige William
09 h 08, le 10 juillet 2021