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Nos Lecteurs ont la Parole

Je rêve d’un « chez-nous » à nous

« I have a dream », avoir un jour un « CHEZ-NOUS » à nous. Actuellement, notre chez-nous, le Liban, ressemble à un bordel où nos prostitués de politiciens se font payer et s’enrichissent en nous offrant à leurs clients.

Notre chez-nous est une toute petite galaxie composée des matériaux incompatibles mais condamnés à cohabiter pour éviter d’imploser et de disparaître.

Jésus a dit : « Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel perd sa saveur, il ne sert plus qu’à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes. »

Le sel libanais s’est métamorphosé petit à petit en cocktail explosif programmé pour exploser de temps en temps, souvent par téléguidage de l’étranger.

Le sel du Liban est pollué, son peuple est gravement malade de son addiction à ses seigneurs de guerre et leurs protecteurs étrangers, un peuple hébété et assommé par une descente vertigineuse vers des enfers économique, politique, sanitaire et moral.

Prions pour le Liban, prions pour l’avènement d’un sauveur humain ou divin, un Jésus, un Gandhi, un Mandela, un Martin Luther King ou une fée aux pouvoirs magiques, capable de redonner à notre sel sa vraie saveur. Il est encore temps, mais pas pour longtemps.

Beyrouth, je te hais d’amour.

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

« I have a dream », avoir un jour un « CHEZ-NOUS » à nous. Actuellement, notre chez-nous, le Liban, ressemble à un bordel où nos prostitués de politiciens se font payer et s’enrichissent en nous offrant à leurs clients.
Notre chez-nous est une toute petite galaxie composée des matériaux incompatibles mais condamnés à cohabiter pour éviter d’imploser et de...

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