Le Liban fait l’expérience d’une « crise de vie », du fait que certaines de ses diversités « ne sont pas réconciliées », a affirmé le pape au retour de son voyage à Bagdad, sur le vol qui le ramenait à Rome. La phrase « Ce sera mon prochain voyage » attribuée sur les réseaux sociaux au correspondant de Skynews arabe Imad el-Atrache n’existe pas dans la transcription officielle des propos du pape.
Voici le verbatim des propos intéressant le Liban tenus par le pape en réponse aux journalistes : « Le Liban est un message, le Liban souffre, le Liban est plus qu’un équilibre, il a la faiblesse de ses diversités, certaines pas encore réconciliées, mais il a la force du grand peuple réconcilié, comme la force des cèdres. Le patriarche Raï m’a demandé de faire une étape à Beyrouth pendant ce voyage mais cela m’a semblé trop peu… Une miette devant un problème, devant un pays qui souffre comme le Liban. Je lui ai écrit une lettre, j’ai fait la promesse de faire un voyage. Mais, en ce moment, le Liban est en crise, mais une crise – je ne veux pas offenser – une crise de vie. » « Le Liban est si généreux dans l’accueil des réfugiés », a conclu François.
Ces propos reflètent, bien entendu, le style oral de l’entretien accordé aux journalistes. On rappelle que le souverain pontife avait fait savoir fin décembre 2020 qu’il comptait se rendre au Liban « dès que possible ».
Le Liban fait l’expérience d’une « crise de vie », du fait que certaines de ses diversités « ne sont pas réconciliées », a affirmé le pape au retour de son voyage à Bagdad, sur le vol qui le ramenait à Rome. La phrase « Ce sera mon prochain voyage » attribuée sur les réseaux sociaux au correspondant de Skynews arabe Imad el-Atrache n’existe pas...
commentaires (0)
Commenter