Les cimenteries du Liban ont appelé hier les autorités à autoriser la relance de l’activité de leurs carrières, « interrompues depuis près de sept mois », et la production de ciment dont le prix a atteint des sommets sur le marché noir, ont-elles indiqué dans un communiqué.
Fin mai, la Cimenterie nationale avait annoncé qu’elle allait mettre au chômage technique 95 % de ses employés, avant de se rétracter. Cela fait des mois que de nombreuses carrières, notamment au Liban-Nord, ont vu leur activité interrompue en raison de cette fermeture.