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La lettre aux abonnés

Ni heureux, ni honorés

Chère abonnée, cher abonné,« Nous sommes heureux et honorés de vous accueillir à l’aéroport international Rafic Hariri de Beyrouth ».Après trois mois et demi de fermeture pour cause de Covid-19, ce message, qui fait frémir dans un mélange improbable d’excitation, de profonde irritation et aujourd’hui d’angoisse les oreilles des Libanais qui arrivent à Beyrouth, a de nouveau retenti dans les couloirs de l’AIB. L’aéroport fonctionne à 10% de ses capacités et l’organisation, à l’arrivée, est passablement préoccupante. Mais le plus important est ailleurs : il s’agira de voir, dans les semaines à venir, si le volume des départs supplante celui des arrivées…Car voilà, il ne vous aura pas échappé que la situation, au Liban, se dégrade à une vitesse vertigineuse.Si vous vivez au Liban, nous vous prions d’avance de nous excuser de vous plomber...
Chère abonnée, cher abonné,« Nous sommes heureux et honorés de vous accueillir à l’aéroport international Rafic Hariri de Beyrouth ».Après trois mois et demi de fermeture pour cause de Covid-19, ce message, qui fait frémir dans un mélange improbable d’excitation, de profonde irritation et aujourd’hui d’angoisse les oreilles des Libanais qui arrivent à Beyrouth, a de nouveau retenti dans les couloirs de l’AIB. L’aéroport fonctionne à 10% de ses capacités et l’organisation, à l’arrivée, est passablement préoccupante. Mais le plus important est ailleurs : il s’agira de voir, dans les semaines à venir, si le volume des départs supplante celui des arrivées…Car voilà, il ne vous aura pas échappé que la situation, au Liban, se dégrade à une vitesse vertigineuse.Si vous vivez au Liban, nous vous...
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