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Liban - Abolition

Antoinette Chahine en Haute-Savoie, pour la Journée mondiale des villes contre la peine de mort

La militante abolitionniste avec des représentants d’Amnesty International.

Le 30 novembre dernier, à l’occasion de la Journée mondiale des villes pour la vie – villes contre la peine de mort, Antoinette Chahine, ancienne condamnée à mort au Liban et militante abolitionniste, était invitée en Haute-Savoie par la mairie de Samoëns et le groupe Amnesty International. L’occasion pour celle qui lutte contre la peine capitale au Liban et dans le monde entier d’évoquer son combat devant 420 lycéens du Lycée de Passy et du Lycée Vaugelas de Chambéry. Mme Chahine a également été reçue par la presse locale et par le groupe local d’Amnesty International de la Haute Vallée de l’Arve. Touchés par son histoire, les lycéens n’ont pas manqué de lui faire part de leur détermination à la rejoindre dans sa lutte en faveur des droits humains.Rappelons qu’Antoinette Chahine a été arrêtée à 23 ans, le 21 mars 1994, après l’attentat contre l’église Notre-Dame de la Délivrance à Zouk. Condamnée à mort trois ans plus tard, elle a vécu cinq années et demie d’enfer dans les geôles libanaises avant d’être innocentée le 24 juin 1999.

Depuis 2002, à l’initiative de la communauté de Sant’Egidio à Rome, la Journée mondiale des villes pour la vie – villes contre la peine de mort est célébrée tous les 30 novembre, jour anniversaire de la première abolition de la peine capitale réalisée par un État (le grand-duché de Toscane), le 30 novembre 1786.

Le 30 novembre dernier, à l’occasion de la Journée mondiale des villes pour la vie – villes contre la peine de mort, Antoinette Chahine, ancienne condamnée à mort au Liban et militante abolitionniste, était invitée en Haute-Savoie par la mairie de Samoëns et le groupe Amnesty International. L’occasion pour celle qui lutte contre la peine capitale au Liban et dans le monde entier...

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