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Liban

La mort de Ala’ Abou Fakhr cimente l’unité d’un soulèvement qui gagne en nervosité

Unis dans le deuil, les Libanais de toutes les régions ont pleuré hier la mort gratuite de Ala’ Abou Fakhr, un cadre du PSP abattu à bout portant mardi soir, devant sa femme et son fils, sur un barrage routier à Khaldé. Venus de Tripoli, de Saïda, de Baalbeck, des hommes et des femmes émus, à court de mots, se sont joints à la foule, à Khaldé, pour donner l’accolade à ses proches effondrés. Des prières se sont élevées à son intention à Achrafieh et à Bkerké, où le patriarche l’a cité dans le chapelet récité désormais en public, chaque jour, à l’intention de la paix. Le cercueil de l’homme, surnommé « martyr de la révolution du 17 octobre », a été porté à bout de bras, en procession solennelle, place Riad el-Solh. Demain, pour les adieux du cadre du PSP à Choueifate, « couvrez les places et les routes de drapeaux libanais », a demandé le leader druze Walid Joumblatt.

Unis dans le deuil, les Libanais de toutes les régions ont pleuré hier la mort gratuite de Ala’ Abou Fakhr, un cadre du PSP abattu à bout portant mardi soir, devant sa femme et son fils, sur un barrage routier à Khaldé. Venus de Tripoli, de Saïda, de Baalbeck, des hommes et des femmes émus, à court de mots, se sont joints à la foule, à Khaldé, pour donner l’accolade à ses proches...

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