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Liban

La règle du silence électoral bafouée par tous

Il n’a pas été difficile pour les hauts responsables de suivre la journée électorale à Tripoli, compte tenu du faible taux de participation des électeurs. Le grand constat conjoint du président de la Commission de supervision des élections, le juge Nadim Abdel Malak, et de l’Association libanaise pour la démocratie des élections (LADE), ce sont les criantes violations générales de la règle du silence électoral. Déclarations publiques, distributions de tracts électoraux sur les pare-brise, convois, messages portables, tout y est passé, sans que l’Intérieur puisse y mettre fin.

La ministre de l’Intérieur Raya el-Hassan a suivi le scrutin sur place, tandis que le chef de l’État et le ministre de la Justice le suivaient à partir de la capitale. « Le faible taux de participation ne signifie pas que ces élections sont un échec », a tenu à préciser la ministre de l’Intérieur, qui a affirmé que cela était prévisible. Elle a souligné par ailleurs que la date du 14 avril était incontournable, en raison du délai légal de retrait des candidatures qui empêchait que l’élection ne se déroule avant cette date comme des échéances qui allaient suivre : les deux fêtes dominicales de Pâques et le mois de ramadan.

Le ministre des Affaires sociales Richard Kouyoumjian, lui, a présenté ses excuses au nom du gouvernement pour les difficultés rencontrées hier par les personnes handicapées physiquement pour accéder aux bureaux de vote.

Il n’a pas été difficile pour les hauts responsables de suivre la journée électorale à Tripoli, compte tenu du faible taux de participation des électeurs. Le grand constat conjoint du président de la Commission de supervision des élections, le juge Nadim Abdel Malak, et de l’Association libanaise pour la démocratie des élections (LADE), ce sont les criantes violations générales de...

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