Léa Iskandar lors de sa victoire à la Saradar Bank Women’s Race en 2015. Elle a également remporté la course organisée par l’Association du marathon de Beyrouth trois fois consécutivement, lors des éditions 2017, 2018 et 2019. Lors de cette dernière édition, elle a amélioré son record personnel, datant de 2018, d’une minute et deux secondes. Photo d’archives/beirutmarathon/Instagram
En dépit des conditions climatiques extrêmes, l’Association du marathon de Beyrouth a organisé hier contre vents et marées la 6e édition de la Saradar Bank Women’s Race, qui s’est tenue dans l’enceinte du port de la capitale libanaise.
Quelque 5 742 athlètes de 34 nationalités différentes, un chiffre record pour cette course depuis sa 1re édition en 2013, étaient au départ. C’est la coureuse libanaise Léa Iskandar, du club Yalla Narkod relevant de la Fondation Saradar, qui a été sacrée pour la quatrième fois après 2015, 2017 et 2018. Iskandar a en outre brisé son record de l’an dernier, bouclant les 10 km de l’épreuve en 37 min 39 sec (son précédent temps de référence : 38 min 41 sec).
Enfin, dans la catégorie des athlètes à besoins spéciaux, la coureuse française Marie-Joëlle Gaby s’est classée 1re en 25 min 30 sec. L’an dernier, elle était arrivée 3e en 33 min 38 sec. Quant à Mona el-Lhayeb, 1re en 2018, elle a réalisé un chrono de 28 min 40 sec.
J.M.
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