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Moyen Orient et Monde - Syrie

Washington accuse Moscou d’avoir aidé à mettre en scène une attaque chimique pour saper la trêve

Les États-Unis ont accusé hier la Russie d’avoir propagé la thèse d’une attaque chimique dans la ville d’Alep, conduite selon le régime syrien par des « groupes de l’opposition », l’objectif de Damas et de Moscou étant de « saper » un cessez-le-feu fragile dans la province rebelle d’Idleb. « Les États-Unis sont très préoccupés du fait que des responsables prorégime ont gardé le contrôle du site de l’attaque dans sa suite immédiate, leur permettant potentiellement de fabriquer des échantillons et de contaminer le site avant une enquête en bonne et due forme par l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques » (OIAC), a précisé le porte-parole du département d’État, Robert Palladino. Washington assure que le régime syrien de Bachar el-Assad a au contraire utilisé des gaz lacrymogènes à l’encontre de civils le 24 novembre, pour faire croire à une attaque au chlore menée par les rebelles.


Les États-Unis ont accusé hier la Russie d’avoir propagé la thèse d’une attaque chimique dans la ville d’Alep, conduite selon le régime syrien par des « groupes de l’opposition », l’objectif de Damas et de Moscou étant de « saper » un cessez-le-feu fragile dans la province rebelle d’Idleb. « Les États-Unis sont très préoccupés du fait que des...

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