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Liban

Bassil défend les libertés et...prépare une charte des médias

Au lendemain de la convocation par la police de l’activiste Yara Chehayeb, suite à une plainte déposée contre elle par le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, parce qu’elle avait dit sur Twitter que le problème du Liban se résume aux « complexes psychiques » de M. Bassil, ce dernier a réagi de façon contrastée. D’un côté, il a estimé « intolérable d’arrêter une personne et l’empêcher de donner son avis ». « Bien au contraire, il faut élargir les libertés individuelles, afin d’exercer des pressions sur les responsables qui manquent à leurs devoirs », a-t-il dit. S’exprimant mardi à l’issue de la réunion hebdomadaire du bloc du Liban fort dirigé par le CPL, M. Bassil s’est toutefois indigné, d’autre part, de ce qu’il a appelé « l’anarchie régnant dans les médias », la qualifiant d’« intolérable ». Faisant état d’« organes médiatiques qui ne sanctionnent pas les auteurs de fausses accusations, d’incitations au meurtre ou d’atteintes à la dignité et à la réputation des gens », M. Bassil a fait savoir que son parti entendait présenter une « charte des médias » pour « définir des garde-fous éthiques ».

Au lendemain de la convocation par la police de l’activiste Yara Chehayeb, suite à une plainte déposée contre elle par le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, parce qu’elle avait dit sur Twitter que le problème du Liban se résume aux « complexes psychiques » de M. Bassil, ce dernier a réagi de façon contrastée. D’un côté, il a estimé « intolérable...

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