Rechercher
Rechercher

Lifestyle - Quelqu’un m’a dit...

À peine le temps de se repoudrer le nez avant la prochaine fête...

La reine Noor al-Hussein et Ricardo Karam entourés de gauche à droite des princesses Alia Tabbaa, Rym el-Ali, Ghida Talal et, à l’extrême droite, Youmna Karam.

La cour royale était là !
Comme chaque année, Takreem, fondée et présidée par Ricardo Karam, célèbre l'excellence arabe. En regard des personnalités présentes à cette huitième édition, qui s'est déroulée dans la capitale jordanienne, l'événement a été exceptionnel. Le tapis rouge a vu défiler des membres de la famille royale, dont le prince Ali al-Hussein et son épouse la princesse Rym Brahimi ; le prince Talal Mohammad, la princesse Ghida et leurs enfants ; la princesse Alia Tabbaa et sa fille, la princesse Ayah al-Fayçal, avec son époux Mohammad Halawani ; la princesse Wijdan al-Hachemi, accompagnée de toute sa famille, et la princesse Nour Assem. Arrivée en dernier, très belle, un cran au-dessus des autres, la reine Noor al-Hussein a été accueillie sous une pluie d'applaudissements. En black tie, robes longues ou abayas, plus de mille invités s'étaient joints à la soirée. Parmi eux, l'ancien chef du gouvernement kurde Barham Salih, le président de l'Université américaine de Beyrouth Fadlo Khoury, le magnat d'origine palestinienne Sabih Masri et ses enfants, ainsi que les anciens ministres jordaniens de l'Intérieur Hussein Majali et des Affaires étrangères Marwan Mouacher. Présents également, les banquiers Khaled Janahi, Maurice Sehnaoui, Nehmé Sabbagh, Rami al-Nemr et Issam Salfiti. Raymond et Carmen Debbané sont venus de New York, Ghassan et Manal Saab du Michigan, et Gaby Massoud de Marbella. De même, la smala Khoury (CCC), Samer, Salwa et Taima, étaient là, avec leurs conjoints respectifs. Sans oublier Fouad et Laura Tabet, Rajaa Salam, Maha Chalabi, Mira el-Khalil, Leila Bissat, Charles et Yolla Noujaim, Mona Rifaï, Hala Ghaith Pharaon.
Parmi les lauréats de Takreem, trois Libanais : Raymond Debbané (prix du leadership d'entreprise) et Nahla Hwalla (prix de l'excellence dans l'éducation, ainsi que Maroun Semaan, auquel le prix Life Achievement a été attribué à titre posthume pour son parcours professionnel et philanthropique atypique.
Autour de Takreem, la ville de Amman s'est mobilisée pendant 3 jours avec des déjeuners et des dîners offerts par Hassan et Samia Mango, Ali et Lama Kolaghassi, Mohammad et Mahira Abou Ghazalé, et Nawzat Shaker.

Life is sweet pour Tarek
Par décision de la reine Elizabeth II herself, Tarek Maalouf a été fait Member of the British Empire (MBE). C'est le prince William, duc de Cambridge, qui lui a remis la décoration, au cours d'une cérémonie à Buckingham Palace, en présence de nombreux invités. Son père Fouad Maalouf et sa mère l'écrivaine Hanane el-Cheikh, une des grandes voix de la littérature arabe, étaient évidemment présents. Les Anglais doivent bien cette distinction honorifique à Tarek : en créant la Hummingbird Bakery à Notting Hill, mister Maalouf a introduit les brownies et les cupcakes américains à Londres, mais aussi le New York cheesecake et la meringue-topped lemon pie. L'engouement des Londoniens pour les desserts de l'Oncle Sam est tel que depuis 2004, sept succursales de Hummingbird Bakery ont été ouvertes dans la capitale britannique, outre les deux franchises à Dubaï et l'autre en Arabie saoudite. Les secrets de ses pâtisseries ont été publiés dans quatre ouvrages à succès que les gourmands s'arrachent. Un Libanais de plus au zénith de la réussite à l'étranger.

Du côté de chez Soraya
Les Artisans du Liban et d'Orient se mettent aussi à l'heure des fêtes. Repris par Soraya Khalidy après la disparition de sa mère Nadia el-Khoury, ce lieu, qui a été à l'avant-garde de l'artisanat et du bon goût, se pare de tous les atours pour accueillir Noël et le Nouvel An. Tradi ou arty, les dernières créations insufflent un brin de magie au lieu et apportent un supplément d'âme aux matières travaillées à la main : bois, terre, textile, cuivre, verre soufflé, or (dont une série de bijoux de Nayla Arida) et, parmi tant d'objets, de pétillantes décorations en pâte à sucre. L'ensemble transforme l'espace en un petit musée du savoir-faire de nos artisans locaux. Un événement qui mérite bien d'être arrosé. Ainsi, gin Basil, vin Ixsir et boisson au fruit de la passion ont coulé à flot pour la foule qui était là. Dans l'assistance, on remarquait, Mona Issa el-Khoury, Nada el-Assaad, Joumana Rizk Yarak, Sarah Trad, Maria Ossaïmi, Cyn et Johnny Farah, Rola et Roy Haddad, Moustapha Khalidy, Camille Tarazi, Zeina Chahid, Minie Majdalani, Aïda Hermez, Élie Pierre Sabbagh, et Zalfa Naufal. En vrais fashionistas, les enfants de Carole Tarazi Nasnas sont tombés en pâmoison devant les chemises de Sélim Azzam, qui a remporté le troisième prix L'OLJ-SGBL de Génération Orient saison 2, et les tee-shirts d'Élias el-Haddad (alias Boshies), conçus spécialement pour les petits.

The Great War is here
L'ambassadeur de Grande Bretagne Hugo Shorter et son épouse Laura ont reçu une brochette d'amis à dîner, sur le thème de « Game of Thrones ». Les aficionados de cette série de fiction fantastico-médiévale peuvent être déçus : Thérèse et Neemeh Tohmé, Marianne et Henri Hélou, ainsi que le ministre de la Santé Ghassan Hasbani et son épouse Nadine, ont débarqué sans déguisement.
Coiffé d'un chapeau de cowboy, le ministre de l'Information Melhem Riachi faisait plus Wild Wild West allant à la conquête de l'Indiana qu'un fan du royaume des Sept Couronnes ; son épouse Solange arborait un masque mi-Zorro mi-vénitien. Sarah et Alain Aoun, ainsi que Zalfa Boueiz, élégante dans une cape noire, collaient plus au thème. La palme du déguisement a été cependant remportée par Georges et Alexandra Asseily, duchesse dans sa abaya brodée. À ce jeu du trône de fer, il y avait de l'alcool à profusion et de la bonne bouffe : kharouf, dinde et choucroute, et de délicieux desserts.

Parfums de Noël
Pour son atelier d'art floral, Marwan Hamza s'est offert une nouvelle adresse rue Abdel Wahab. La pendaison de crémaillère, qui tombe à pic en cette période festive de l'année, a réuni les amis dans une atmosphère empreinte de gaieté. Toutes ou presque étaient là : Michèle Gharzouzi, Jacqueline Ayoub, Asma Andraos, Carole Schoucair, Mona Zaatari, Elham Salamé, Myrna Khattar, Lina Chammaa, Rima Jaroudy, Loubna Hijazi, Nina Salem Chab, Viviane Abourouss, Souha Beyhum. Personne n'a pu retenir un waouh d'admiration en découvrant le sapin de Marwan : un lustre jetant ses étincelles sur un volume d'étoiles et d'envolées de branchages, coupées au laser dans du carton scintillant or. Spectaculaire. Elle est là, la magie de mister Hamza : créer autrement. Sous ses doigts, les couronnes tressées, les cônes de pin colorés et les poinsettias semblaient prendre un aspect plus gracieux que sur leurs tiges. Et tout autour, se glissant sur les murs, telle une sentinelle accueillant les invités, les femmes-fleurs (résine et acrylique) peintes par Randa Ali Ahmad évoquent le monde d'Alice au pays des merveilles. Parmi les présents également, Hania Bsat, Racha Nawam, Hania Abou Fadel, Sibine Houry, Maria el-Saïd, Cherine Saadé, fervente adepte de l'art floral, ainsi que la mère et la sœur de Marwan, Siham Hamza et Samar Younès.

Les mecs se rincent l'œil
Khaled Tayyar, Gabriel Rizcallah, Mouhib Maamari et Nazih Braidi n'avaient d'yeux que pour les belles Slaves qui déambulaient en robes de dentelle noire transparente sous un pardessus en fourrure. Ce jour-là, à la galerie Les Plumes d'Elsie Braidi, les œuvres de Jean-Paul Donadini, Hernandez Abelardo, Francisco Portillo et les huiles flamboyantes d'Alfonso Borghi sont passées au second plan, cédant la place à Yousra el-Khoury et à ses mannequins pour présenter la collection Milano Royal Fur. Dans ce lieu noyé de glam et rythmé par la musique de DJ Fadi Nahed, on remarquait la présence de Joyce Azar, Rana Achkar, Effy Chammas, Janine Tabet, Rania Fleifel, Lina Comair, Lina Tabet, Amira Rizk, Moni Mikhaël et d'autres encore.

ditavonbliss@hotmail.com

La cour royale était là !Comme chaque année, Takreem, fondée et présidée par Ricardo Karam, célèbre l'excellence arabe. En regard des personnalités présentes à cette huitième édition, qui s'est déroulée dans la capitale jordanienne, l'événement a été exceptionnel. Le tapis rouge a vu défiler des membres de la famille royale, dont le prince Ali al-Hussein et son épouse la...

commentaires (1)

on espere que Tarek Maalouf n'aura pas le meme destin que son pere qui a fait faillite en Arabie Saoudite et qui a laisse ses employes sur le carreau

George Khoury

06 h 38, le 12 décembre 2017

Tous les commentaires

Commentaires (1)

  • on espere que Tarek Maalouf n'aura pas le meme destin que son pere qui a fait faillite en Arabie Saoudite et qui a laisse ses employes sur le carreau

    George Khoury

    06 h 38, le 12 décembre 2017

Retour en haut