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Culture

Génération Orient II : #10 Alexandra el-Kahwagi, actrice, 35 ans

Alexandra el-Kahwagi, en mode selfie.

Entre la caméra et Alexandra el-Kahwagi, c'est une longue histoire d'amour qui remonte à bien des années, lorsque sa mère réalise que son bébé, alors âgé de huit mois, capte très vite l'objectif et prend la pose dès qu'on le photographie. C'est donc plus tard, quand la petite Alexandra a tout juste treize ans, que la maman, toujours attentionnée et vigilante, la traînera aux castings publicitaires visités par sa sœur qui voulait se faire un petit argent de poche. Selon l'actrice, tout le monde la surnommait Mowgli, car elle avait les cheveux en bataille et les dents écartées. Seule sa mère croyait en elle et savait qu'un jour elle irait loin.
Aujourd'hui, une tignasse de lionne encadre les grands yeux pétillants et curieux. Les prémonitions de la maman étaient juste : la sœur d'Alexandra se retire un beau jour du milieu publicitaire, et la férue de mathématiques laisse tomber l'ingénierie à la LAU pour poursuivre des études d'audiovisuel à l'Iesav. Elle décroche son premier rôle dans un long métrage de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, A perfect day. Aujourd'hui, à son tableau de chasse, quelques courts métrages et cinq longs qui jalonnent son parcours. D'Élie Khalifé (Yanoussak) à Henri Bargès (Nuts) en passant par Mayyal el-Roumi (Roundtrip) et Mir Jean Bou Chaaya (Film Kteer Kbir), Alexandra el-Kahwagi, comme un feu follet, court et court toujours, tout en sélectionnant, ou même élaguant, ses rôles.

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Alexandra el-Kahwagi est, après Charlie Prince, Timi Hayek, Etyen, Chrystèle Khodr,  Salim Azzam, Carlo Massoud, Farid Chéhab, Cynthia Merhej et Ayla Hibri, le dixième « soldat » de la deuxième édition de Génération Orient, un vaste projet de résistance culturelle lancé, le 17 mai 2016, par « L'Orient-Le Jour » en partenariat avec la Société générale de banque au Liban (SGBL). Génération Orient est uniquement axé sur deux postulats incontournables et indiscutables : la jeunesse et l'art. Parce que plus que tous les autres, ces deux moteurs peuvent assurer la renaissance et la sérénité du Liban.

Retrouvez ici la première édition de Génération Orient

 

Entre la caméra et Alexandra el-Kahwagi, c'est une longue histoire d'amour qui remonte à bien des années, lorsque sa mère réalise que son bébé, alors âgé de huit mois, capte très vite l'objectif et prend la pose dès qu'on le photographie. C'est donc plus tard, quand la petite Alexandra a tout juste treize ans, que la maman, toujours attentionnée et vigilante, la traînera aux castings...

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