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Liban

Hajj Hassan en Syrie : « Nous sommes ici en notre qualité d’officiels »

Le ministre de l'Industrie, Hussein Hajj Hassan, actuellement en visite en Syrie pour participer à la Foire internationale de Damas, a rencontré hier le Premier ministre syrien, Imad Khamis, en présence de son homologue, Ahmad Hamo, et du secrétaire général du Haut Comité syro-libanais, Nasri Khoury. M. Hajj Hassan était accompagné d'une délégation de l'Association des industriels libanais.
« Nous sommes ici en notre qualité d'officiels pour féliciter l'armée et le peuple syriens, ainsi que l'État libanais, l'armée libanaise et la résistance pour la victoire de la Syrie sur le terrorisme takfiriste (jihadiste) », a indiqué M. Hajj Hassan lors de sa visite. « Il n'est de secret pour personne qu'il y a une divergence des opinions au Liban concernant la relation avec la Syrie. Mais, au Liban, nous tirerons tous profit de la stabilité en Syrie », a-t-il souligné.
Le ministre de l'Industrie s'est par ailleurs penché sur les moyens de redynamiser les échanges économiques entre le Liban et la Syrie. « Notre présence aujourd'hui en Syrie avec des représentants du secteur privé, ainsi que notre participation à la Foire internationale de Damas servent à établir des contacts avec les ministres et responsables syriens pour régler les dossiers économiques entre nos deux pays et afin d'établir un commerce équitable », a-t-il dit. « Le Liban n'essaie pas de régler sa crise économique grâce à la Syrie. Mais c'est par l'entente et la compréhension des circonstances par lesquelles passe chacun de nos pays que nous pouvons travailler à lever certains des obstacles économiques, a indiqué le ministre. Nous sommes venus renforcer les liens économiques déjà existants entre le Liban et la Syrie, et qui sont régis par des accords supervisés par le Haut Comité syro-libanais. »
Ahmad Hamo a pour sa part espéré que le Liban fera partie « des pays amis » qui participeront à la reconstruction de la Syrie et la mise en place de projets industriels communs.
Le ministre de l'Agriculture, Ghazi Zeaïter, qui participe également à la Foire internationale de Damas, a rencontré hier son homologue syrien et annoncé que des réunions de coordination dans le domaine de l'agriculture auront lieu la semaine prochaine à
Chtaura entre des responsables syriens et libanais.

Le ministre de l'Industrie, Hussein Hajj Hassan, actuellement en visite en Syrie pour participer à la Foire internationale de Damas, a rencontré hier le Premier ministre syrien, Imad Khamis, en présence de son homologue, Ahmad Hamo, et du secrétaire général du Haut Comité syro-libanais, Nasri Khoury. M. Hajj Hassan était accompagné d'une délégation de l'Association des industriels...

commentaires (5)

VOUS SEULS ,CONNAISSEZ L'INTERET DU LIBAN , LIBRE INDEPENDANT DEMOCRATIQUE ET NOUVEAU . GO AHEAD !

FRIK-A-FRAK

12 h 15, le 18 août 2017

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Commentaires (5)

  • VOUS SEULS ,CONNAISSEZ L'INTERET DU LIBAN , LIBRE INDEPENDANT DEMOCRATIQUE ET NOUVEAU . GO AHEAD !

    FRIK-A-FRAK

    12 h 15, le 18 août 2017

  • ces gens la n'en ont pas assez de REMERCIER LA SYRIE, d'avoir combattu et vaincu le terrorisme. 1- C a la syrie de les remercier car sans eux et sans la russie le pouvoir aurait perdu la bataille 2- ceux la memes , mr nasrallah aussi en ont assez dit et redit a remercier et feliciter la syrie nul besoin de preuves additionnelles pour nous demontere leur asservissement , pas a la syrie(voir ci-haut) mais a leur vision propre a ceelle de leur patron l'iran

    Gaby SIOUFI

    10 h 26, le 18 août 2017

  • VOUS L,ETES EN VOTRE QUALITE STRICTEMENT PERSONNELLE ... REVEUR... VA !

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 24, le 18 août 2017

  • "Nous sommes ici en notre qualité d’officiels ". prétend le ministre de l'Industrie. C'est évidemment faux, puisque son collègue des Travaux Publics reconnaît qu'il va à Damas contre l'avis du Premier Ministre. Quant aux relations entre le Liban et la Syrie, il est évident que deux pays voisins ont intérêt à établir les meilleures relations possibles. Cependant, elles ne peuvent exister qu'entre deux partenaires égaux et non entre suzerain et vassal ou puissance occupante et pays occupé comme dans le passé. Enfin, même si on ne peut songer à lui demander de payer des indemnités de guerre, il serait normal d'attendre de la Syrie, un minimum d'excuses pour les morts et destructions causés durant les trente années d'occupation.

    Yves Prevost

    07 h 21, le 18 août 2017

  • accords de quoi !?! du haut comite non libano-syrien mais syro-syrien

    Bery tus

    03 h 54, le 18 août 2017

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