Rechercher
Rechercher

Économie

Brèves monde

Pétrole
L'Irak pour une prolongation de neuf mois des limites de production

L'Irak a approuvé la prolongation de neuf mois de la limitation de la production des pays membres de l'OPEP, qui vise à faire remonter les cours du brut, a indiqué hier le ministre irakien du Pétrole, Jabbar al-Luaibi. « Nous sommes en accord avec le royaume (saoudien) pour poursuivre la limitation de la production » pour une période de neuf mois, a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Bagdad avec son homologue saoudien, Khaled al-Faleh. « Après un entretien avec le Premier ministre (irakien), ce dernier a donné le feu vert au ministre irakien pour approuver » la prolongation de neuf mois, a dit de son côté M. Faleh.
Dimanche, le ministre saoudien s'était dit confiant au sujet de la prolongation des quotas de production de pétrole appliqués depuis janvier, avant une réunion jeudi des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie. Les restrictions prévues pour l'heure jusqu'à la fin juin devraient être prolongées lors de cette réunion.
Le gouvernement irakien, qui tire la majorité de ses revenus du pétrole, avait été très affecté par la baisse des prix du brut entamée en 2014.
Face à cette chute des prix, les pays membres de l'OPEP s'imposent depuis janvier des limites de production, aux côtés de partenaires comme la Russie.

Finance
Le bitcoin grimpe au-dessus de 2 000 dollars pour la première fois

Le cours du bitcoin, monnaie virtuelle qui n'est pas régulée, est monté hier à plus de 2 000 dollars pour un bitcoin, un niveau jamais vu depuis son lancement il y a un peu plus de huit ans.
Vers 18h05 heure de Beyrouth, le cours de la monnaie cryptographique est monté à 2 239,75 dollars pour un bitcoin, après avoir ouvert hier au-dessus de 2 000 dollars pour la première fois de son histoire, selon des chiffres du fournisseur de données financières Bloomberg. Cette progression intervient dans un contexte de faiblesse généralisée du dollar.
Contrairement aux devises physiques telles que l'euro ou le dollar, le bitcoin n'est régi par aucune banque centrale ni aucun gouvernement, mais par une vaste communauté d'internautes, et ne peut donc être soumis à la tentation de la « planche à billets », arguent ses partisans.
Cependant, les critiques soulignent son opacité et extrême volatilité, dénonçant la création d'une bulle spéculative.
Le bitcoin ne valait que quelques cents à son lancement en février 2009 par un ou plusieurs informaticiens se cachant sous le pseudonyme de Satoshi Nakamoto.

PétroleL'Irak pour une prolongation de neuf mois des limites de production
L'Irak a approuvé la prolongation de neuf mois de la limitation de la production des pays membres de l'OPEP, qui vise à faire remonter les cours du brut, a indiqué hier le ministre irakien du Pétrole, Jabbar al-Luaibi. « Nous sommes en accord avec le royaume (saoudien) pour poursuivre la limitation de la...
commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut