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Liban

Farès Souhaid : La prorogation est inévitable

Le coordinateur général du 14 Mars, Farès Souhaid, a exprimé ses craintes quant à la régression de l'esprit du vivre-ensemble depuis le début du mandat de Michel Aoun. Il en veut pour preuve le fait que les débats autour d'une nouvelle loi électorale ont frôlé la guerre civile.
Dans un entretien accordé à l'agence al-Markaziya, M. Souhaid s'est posé la question de savoir comment le président de la République peut se présenter comme arbitre, à l'heure où son beau-fils (le chef du courant aouniste, Gebran Bassil) présente des propositions de loi électorale. Selon le coordinateur général du 14 Mars, « si M. Aoun se veut réellement un arbitre, il devra exhorter M. Bassil à ne plus intervenir dans le processus de l'adoption d'une loi électorale et confier cette mission au gouvernement ou au comité ad hoc présidé par Saad Hariri ».
Farès Souhaid a en outre assuré que la prorogation de la législature est inévitable, qu'elle soit technique (liée à un nouveau texte) ou ordinaire, au vu de l'échec à adopter une loi. Selon lui, cette rallonge du mandat de la Chambre serait le résultat de la décision du président de la Chambre Nabih Berry d'user de ses prérogatives pour éviter un vide législatif.

Le coordinateur général du 14 Mars, Farès Souhaid, a exprimé ses craintes quant à la régression de l'esprit du vivre-ensemble depuis le début du mandat de Michel Aoun. Il en veut pour preuve le fait que les débats autour d'une nouvelle loi électorale ont frôlé la guerre civile.Dans un entretien accordé à l'agence al-Markaziya, M. Souhaid s'est posé la question de savoir comment le président de la République peut se présenter comme arbitre, à l'heure où son beau-fils (le chef du courant aouniste, Gebran Bassil) présente des propositions de loi électorale. Selon le coordinateur général du 14 Mars, « si M. Aoun se veut réellement un arbitre, il devra exhorter M. Bassil à ne plus intervenir dans le processus de l'adoption d'une loi électorale et confier cette mission au gouvernement ou au comité ad hoc présidé...
commentaires (2)

EN FAIT PROROGATION OU LOI 1960 C,EST LA MEME CHOSE... MAIS AVEC LA 1960 LE MONDE DIRA AU MOINS QU,IL Y EUT ELECTIONS...

LA LIBRE EXPRESSION.

14 h 38, le 22 avril 2017

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Commentaires (2)

  • EN FAIT PROROGATION OU LOI 1960 C,EST LA MEME CHOSE... MAIS AVEC LA 1960 LE MONDE DIRA AU MOINS QU,IL Y EUT ELECTIONS...

    LA LIBRE EXPRESSION.

    14 h 38, le 22 avril 2017

  • Dans un pays démocratique et libéral, le problème d'une loi électorale doit être traité exclusivement par le gouvernement et non par les partis politiques de surcroît par des politiciens plusieurs fois recalés par le suffrage universel.

    Annie

    14 h 00, le 22 avril 2017

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