Le conseil d'administration d'EDF a voté jeudi le principe d'une fermeture sous conditions de la centrale nucléaire de Fessenheim, tout en laissant ouverte la possibilité de fermer un autre site, a appris Reuters d'une source proche du dossier et auprès de la CGT.
Deux conditions sont posées, a précisé la source : la mise en service de l'EPR de Flamanville et le respect du plafond de 63,2 gigawatts de production d'électricité d'origine nucléaire fixé par la loi de transition énergétique.
Selon un représentant de la CGT, la motion votée laisse ouverte la possibilité de fermer une autre centrale nucléaire que Fessenheim.
"C'est une résolution qui permet (au PDG d'EDF Jean-Bernard) Lévy de garder la face mais pas au gouvernement, pour qui c'est une véritable camouflet", a déclaré Laurent Langlard, porte-parole de la fédération CGT des mines et de l'énergie.
Deux conditions sont posées, a précisé la source : la mise en service de l'EPR de Flamanville et le respect du plafond de 63,2...
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