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Moyen Orient et Monde

Netanyahu veut convaincre Poutine d’empêcher l’Iran de s’installer en Syrie

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé hier qu'il allait tenter de convaincre jeudi prochain à Moscou le président russe Vladimir Poutine d'empêcher une présence militaire iranienne permanente en Syrie. « L'Iran tente de s'établir de façon permanente en Syrie au travers d'une présence militaire terrestre et maritime et d'ouvrir progressivement un front sur le plateau du Golan », en partie occupé par Israël, a affirmé le chef du gouvernement lors du Conseil des ministres. « Je ferai part au président Poutine jeudi à Moscou de l'opposition ferme d'Israël à une telle possibilité », a ajouté le Premier ministre, selon un communiqué de son bureau.
Israël a conquis durant la guerre de juin 1967 une partie du Golan syrien avant d'annexer 1 200 km² de cette région en 1981. Cette annexion n'est pas reconnue par la communauté internationale, qui considère toujours le territoire comme syrien. Environ 510 km² restent sous contrôle syrien. Les responsables israéliens dénoncent régulièrement la présence de militaires notamment des gardiens de la révolution iraniens en Syrie et des combattants du Hezbollah, allié de Téhéran, aux côtés des forces du régime de Bachar el-Assad.
Par ailleurs, M. Netanyahu a exprimé l'espoir de parvenir avec M. Poutine à de nouveaux « arrangements pour éviter des frictions possibles entre nos forces, comme nous l'avons fait jusqu'à présent ». Il faisait allusion à une coordination militaire entre les pays conclue l'an dernier pour éviter des affrontements entre avions russes et israéliens dans l'espace aérien syrien.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé hier qu'il allait tenter de convaincre jeudi prochain à Moscou le président russe Vladimir Poutine d'empêcher une présence militaire iranienne permanente en Syrie. « L'Iran tente de s'établir de façon permanente en Syrie au travers d'une présence militaire terrestre et maritime et d'ouvrir progressivement un front sur le...

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Depuis que Moscou a décidé d’intervenir en Syrie, Netanyahu ne lésine pas sur ses déplacements vers la capitale russe. La première avait été organisée en septembre 2015, alors que Moscou préparait son intervention. Et puis, il y en a eu deux autres visites. Une quatrième devrait avoir lieu le jeudi 9 mars prochain. Un thème revient sans cesse : les appréhensions usurp. d’un renforcement de la présence du Hezb et des Iraniens en Syrie. Plus précisément non loin du Golan occupé. La peur des poltrons israéliens se fait sentir par la crainte d'une installation définitive des forces de résistances au Golan occupé depuis 1967 Selon le journal libanais al-Akhbar, l’institution sécuritaire israélienne craint par-dessus tout que Poutine ne pave le chemin devant le Hezb et l’Iran. Les récents agissements de Moscou dans le sud syrien, non loin de la Palestine occupée, le font craindre. Du côté israélien, le problème réside dans le fait que l'aviation russe bombarde actuellement les positions des insurgés qui ne font pas partie des bactéries Daesh ou d’Al-Qaïda dans dans la région de Deraa , a fait part la chaine 2 de la télé usurp.. En plus 2 des émanations wahhabites d’Al-Qaïda, sont déployées dans le sud syrien les milices de l’asl. L'usurp. craint que ces bombardements ne permettent au Hezb de parvenir de nouveau au Golan syrien. Poutine le permettra - t-il ? Une question qui ne cesse d'angoisser l'usurpie.

FRIK-A-FRAK

13 h 33, le 06 mars 2017

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Commentaires (1)

  • Depuis que Moscou a décidé d’intervenir en Syrie, Netanyahu ne lésine pas sur ses déplacements vers la capitale russe. La première avait été organisée en septembre 2015, alors que Moscou préparait son intervention. Et puis, il y en a eu deux autres visites. Une quatrième devrait avoir lieu le jeudi 9 mars prochain. Un thème revient sans cesse : les appréhensions usurp. d’un renforcement de la présence du Hezb et des Iraniens en Syrie. Plus précisément non loin du Golan occupé. La peur des poltrons israéliens se fait sentir par la crainte d'une installation définitive des forces de résistances au Golan occupé depuis 1967 Selon le journal libanais al-Akhbar, l’institution sécuritaire israélienne craint par-dessus tout que Poutine ne pave le chemin devant le Hezb et l’Iran. Les récents agissements de Moscou dans le sud syrien, non loin de la Palestine occupée, le font craindre. Du côté israélien, le problème réside dans le fait que l'aviation russe bombarde actuellement les positions des insurgés qui ne font pas partie des bactéries Daesh ou d’Al-Qaïda dans dans la région de Deraa , a fait part la chaine 2 de la télé usurp.. En plus 2 des émanations wahhabites d’Al-Qaïda, sont déployées dans le sud syrien les milices de l’asl. L'usurp. craint que ces bombardements ne permettent au Hezb de parvenir de nouveau au Golan syrien. Poutine le permettra - t-il ? Une question qui ne cesse d'angoisser l'usurpie.

    FRIK-A-FRAK

    13 h 33, le 06 mars 2017

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