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Liban

Le marquage de la ligne bleue se poursuit

La Sûreté générale a annoncé dans un communiqué, publié hier, qu'elle a arrêté deux Libanais, un Palestinien et deux Népalaises pour intelligence avec l'ennemi. Lors de leurs interrogatoires, ces personnes ont avoué qu'elles sont entrées en contact avec les ambassades israéliennes en Turquie, en Jordanie, au Royaume-Uni et au Népal pour proposer leur service d'espionnage.
Par ailleurs, au Liban-Sud, un comité de l'armée libanaise ainsi qu'une équipe de topographes onusiens ont posé six nouvelles bornes marquant la ligne frontalière séparant le Liban d'Israël au niveau des villages de Dhaïra et de Marwahin (caza de Tyr). Jusqu'à présent, 247 bornes ont été posées pour marquer la ligne frontalière entre le Liban et Israël.
Sur un autre plan, la Croix-Rouge internationale a remis, hier, le corps de Jean Abou Karroum, décédé en Israël, à la Croix-Rouge libanaise qui l'a transporté jusqu'à son village natal de Qleyaa. Jean Abou Karroum était parti en Israël avec le retrait des troupes de l'État hébreu du Liban-Sud en mai 2000.

La Sûreté générale a annoncé dans un communiqué, publié hier, qu'elle a arrêté deux Libanais, un Palestinien et deux Népalaises pour intelligence avec l'ennemi. Lors de leurs interrogatoires, ces personnes ont avoué qu'elles sont entrées en contact avec les ambassades israéliennes en Turquie, en Jordanie, au Royaume-Uni et au Népal pour proposer leur service d'espionnage.Par...

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